La souris en Belgique - Histoires de Sexe

La souris en Belgique

... glace, en face d’elle, lui permit de s’apercevoir que Worf avait bien préparé son coup : dès qu’elle commençait un pas, on apercevait ses cuisses au-dessus des bas. Elle passa sa langue sur le stylo, avant de le rincer.

Elle eut un orgasme dans l’escalier, en remontant, à cause des vibrations des boules. Elle rejoint lentement la table, essoufflée, trempée sous sa jupe. Une fois de plus, le serveur l’observa. Elle se rassit, en remontant sa jupe comme au début du repas. La fin du déjeuner eut lieu sans encombre, sous les regards insistants du serveur.

Ils étaient maintenant dans la rue. Perchée sur ses talons, elle trottait d’un bon pas, se moquant qu’on voie ses bas à chaque enjambée. Ils firent leurs provisions, cigares et charcuterie ardennaise.

— Allons boire une bière à la taverne du château, dit Worf.

La rue menant à la taverne s’achevait par un raide escalier de pierres. Ils commencèrent à monter, Worf la laissa passer devant. En retrait de quelques marches, il pouvait admirer les jambes de sa femme dans leur intégralité. De par sa position, non seulement il voyait les bas mais aussi, de temps à autre, il apercevait la toison nue dont sortait une petite ficelle blanche. Les boules de geisha faisaient leur œuvre dans le bas-ventre de la souris qui partit dans un violent orgasme au sommet de l’escalier. À la taverne, elle fit sensation, les plateaux de bière avaient du mal à arriver à destination.

Après avoir dégusté une bière locale, ils redescendirent. ...

... Worf dévala l’escalier, pour ne pas manquer une miette. La vue était encore plus intéressante à la descente. De par la fermeture remontée et la cambrure due à ses talons, elle était entièrement exposée. Aucun doute n’était permis sur son absence de culotte, soulignée par les jarretelles et les bas noirs.

Worf, heureux – quoique qu’un peu raide dans son pantalon – décida qu’il était l’heure du retour. La souris, haletante de plaisir, monta dans la voiture. Elle n’eut pas le loisir d’ajuster sa jupe, Worf remontait la fermeture.

— Enlève ta jupe, tu vas faire le retour sans, dit-il.
— Non ! ‘Y a la frontière et plusieurs villes sur la route. Je n’ai pas envie de traverser Reims à poil, s’exclama-t-elle.
— Tu n’as pas le choix, répondit Worf en lui défaisant la jupe.

Il tira dessus, arracha le morceau de tissu noir de sous les fesses de la souris et le jeta sur les sièges arrières.

— Laisse-moi retirer les boules de geisha, au moins, supplia-t-elle.
— Non, ton retour, c’est sans jupe, avec les boules.

Il glissa un doigt entre les lèvres de sa vulve et titilla son clitoris.

— Aaah ! Arrête, je vais tremper le siège, soupira-t-elle en se tortillant.

Pour toute réponse, Worf continua de la caresser. Elle gémissait de plus en plus. De nouveau un orgasme explosa en elle. Était-ce le dixième, le douzième, elle ne savait plus. Mais, sur les 250 kilomètres du retour, ça ne serait pas le dernier.

Ils traversaient maintenant une petite ville. Elle tenta de cacher ...