1. La souris en Belgique


    Datte: 31/03/2021, Catégories: fh, couple, caférestau, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, jouet, lieuxpubl, Auteur: Sourisnude, Source: Revebebe

    ... bouche et de sa langue. Elle voulait tout avaler, d’ailleurs elle n’aurait pas pu faire autrement, Worf lui tenait la tête afin de profiter au maximum. Il eut une succession de spasmes correspondant chacun à une giclée chaude dans la bouche de la souris. Puis ce fut le calme. Elle récupéra tout jusqu’à la dernière goutte, s’attardant bien sur le gland et regarda Worf en souriant. Le mouvement du stylo recommençait, elle allait avoir un nouvel orgasme. Déjà la voiture repartait.
    
    — Burp ! gloussa-t-elle. Tu as vu ce que tu m’as mis, j’ai eu du mal à tout avaler ! S’il te plait, arrête avec ce stylo, j’en ai déjà eu quatre.
    — Non, je continue jusqu’à ce qu’on arrive. La journée n’est pas finie pour toi.
    
    Bientôt, ce fut la frontière belge, endroit évoquant plus la poésie d’un péage d’autoroute qu’une promenade bucolique. La souris voulut rajuster sa jupe qui, durant les ébats précédents, était remontée sur sa taille.
    
    — Tu restes comme ça. Je veux avoir une bonne vue.
    — Mais, la frontière, là, si ‘y a des douaniers…
    — Ils se rinceront l’œil, coupa Worf.
    
    En réalité, il savait qu’il n’y avait plus personne à ce poste frontière depuis longtemps. Le but du voyage n’était plus très loin. Le stylo continuant son œuvre, la souris eut encore deux orgasmes. Le cuir du siège de la Mercedes était trempé. La route nationale à quatre voies se transforma peu à peu en route de montagne. La forêt ardennaise la bordait de chaque côté. Le village apparut, dans la vallée, quelques ...
    ... kilomètres après une bifurcation. Une forteresse moyenâgeuse le dominait, tandis qu’une rivière, traversée par deux ponts, le coupait en son milieu. Le restaurant se trouvait à l’autre bout du centre-ville. Il y avait un peu de monde dans les rues. La souris rabaissa sa jupe. Worf lui posa la main sur la cuisse.
    
    — Elle est assez descendue, n’y touche plus, dit-il en souriant.
    — Y a des gens qui regardent. Ils peuvent tout voir.
    
    Elle n’avait pu descendre la jupe que sur ses fesses. Le reste était clairement apparent, notamment, encadrée par les jarretelles, sa toison de laquelle émergeait un stylo.
    
    — Tu restes comme ça jusqu’à ce que je t’ouvre la portière et que tu sois descendue et ne perds pas ce que tu as entre les jambes.
    
    Il gara la voiture en face du restaurant. Comme il l’avait dit, il alla lui ouvrir. Et c’est ainsi qu’elle posa le pied en Belgique, godée par un stylo, sans culotte, en guêpière, bas noirs et talons hauts, jupe relevée.
    
    — Maintenant, tu peux la baisser. Dépêche-toi, on est en retard, fit Worf, en entraînant la souris par le bras.
    
    Elle eut à peine le temps de rajuster sa jupe. À chaque pas, elle croyait sentir le stylo tomber, tellement son entrejambe était humide et visqueux. Elle imaginait sa honte si, par malheur, elle le perdait en plein restaurant. Elle se rappela la déconvenue qu’elle avait subie deux ans auparavant au même endroit.
    
    À cette époque, elle accompagnait Worf, dont elle était la maîtresse, et son ex-femme, pour ...
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