1. Un voisin prévenant et bricoleur


    Datte: 31/03/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, fépilée, campagne, facial, Oral fdanus, fsodo, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... dit que je suce bien et je redouble d’efforts sous le compliment. C’est vrai que je suce bien, et j’aime ça !
    
    De ses mains sales, il me tripote maintenant les seins et, sans arrêter ma pipe, je l’aide à dégrafer mon soutien-gorge. Francis a une autre idée. Il m’aide à me relever, me retourne vivement et me fait appuyer les mains contre le plan de travail de la cuisine. Il a enroulé ma robe et mate mon cul. Il écarte un peu les fesses et souffle maintenant sur la chatte et l’anus. Je sens soudain sa grosse bite qui vient se loger entre mes lèvres (les verticales, cette fois) et un reflexe de conscience me fait serrer les fesses.
    
    — Excusez-moi, Francis ; vis-à-vis de mon mari, j’ai des scrupules à vous donner mon vagin, vous comprenez ?
    — Mais vous m’avez excité comme une salope, et là, vous me dites que c’est fini ? Ce n’est pas juste, ce n’est pas juste !
    
    Je le sens débander à vitesse grand V ; je vois son beau visage triste et je prends mon plus beau sourire et sa bite molle entre les mains.
    
    — Francis, si cela ne vous dérange pas, bouffez-moi un peu le cul et sodomisez-moi ; mon mari n’aime pas cela. Il trouve que c’est dégradant pour la femme, alors que je trouve que c’est un don de soi unique…
    
    Il acquiesce d’un sourire de connaisseur ; j’adore la façon qu’il a eue de rapidement rentrer dans le jeu du vouvoiement pervers.
    
    Sa bite palpite dans ma paume, et après quelques va-et-vient humides dans ma bouche, elle a repris des dimensions et une dureté ...
    ... correctes. Je me suis mise à quatre pattes sur le tapis près du canapé, la poitrine écrasée au sol et les mains écartant mes fesses pour dévoiler un anus déjà affamé. D’habitude, quand je me caresse, j’ai rapidement mal ; mais là, je me sens prête à me faire défoncer…
    
    Il appuie sa langue sur ma rondelle et me pénètre de quelques centimètres… mais j’en veux plus !
    
    — Enculez-moi vite, Francis, s’il vous plaît… Venez me casser le cul !
    
    J’ai à peine senti son membre investir mon rectum et ondulé des hanches que le téléphone sonne. Il est sur le canapé, et en tendant le bras, je vois que c’est mon amie Brigitte qui m’appelle.
    
    — Si cela ne vous dérange pas, Francis, je lui réponds quelques secondes, histoire qu’elle ne s’inquiète pas ?
    — Pas du tout, chère Myriam ; mais laissez-moi vous pilonner le cul.
    — Faites, mon ami, faites.
    
    Je décroche.
    
    — Brigitte, excuse-moi, je suis à quatre pattes au pied de la voiture en train de changer une roue !
    — Mais ça va ma chérie ? Je t’attends depuis vingt minutes, j’étais inquiète.
    — Ça va, ça va, je gère, mais il va être trop tard pour te rejoindre. On remet cela à jeudi prochain ?
    
    Le salaud me pistonne de plus belle. Maintenant, il sort sa bite et écarte mon trou du cul pour cracher dedans. De la main gauche, je me branle comme une possédée.
    
    — Ça va, Myriam ? Je te sens distante ; tout va bien ?
    — Oui, oui, mais je suis un peu prise en ce moment ! On se dit à la semaine prochaine ?
    — OK, OK, je te laisse ; mais tu sais, ...