1. Un voisin prévenant et bricoleur


    Datte: 31/03/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, fépilée, campagne, facial, Oral fdanus, fsodo, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    Bonjour ; depuis que je suis installée à Rouen, je m’ennuie un peu, après de belles années à Paris. Nous habitons mon mari Pierre et moi une jolie maison en bord de forêt ; il part tôt le matin au travail, je vais faire du shopping avec ma nouvelle amie Brigitte et j’attends Pierre le soir pour un repas sans fantaisie. Mes deux enfants sont à l’université. J’ai 48 ans, blonde-rousse aux yeux clairs, pulpeuse et sexy avec mes robes fleuries ; mais j’ai de plus en plus le sentiment d’être transparente à ses yeux. J’ai découvert votre site et j’avoue que lorsque l’ennui me prend, j’aime bien lire quelques histoires, allongée sur le canapé, en me caressant doucement le clitoris.
    
    Hier, je veux démarrer ma Mini et je constate qu’un pneu avant est complètement dégonflé. Je sors le cric et bloque complètement sur un écrou qui ne veut pas bouger. Je pleure facilement, et un joggeur qui revenait de la forêt me surprend au pied de ma voiture, les yeux embués de larmes.
    
    — Alors ma pôv’dame, des ennuis mécaniques ?
    
    Je lui explique ma situation tout en analysant son physique. Il est plutôt beau gosse : la quarantaine virile, les cheveux bruns très courts, avec des lunettes. Il porte un short moulant noir et un tee-shirt assorti. Il m’explique qu’il habite avec son fils dans une petite maison derrière ma rue. Il se met à bricoler ; la voiture remue sous ses efforts, et enfin, d’un coup de pied magistral, il débloque l’écrou. Il finit par changer la roue tout seul, sous mon ...
    ... admiration. Je le surprends parfois en train de lorgner mes jambes que le vent coquin dévoile, ou mes seins, emprisonnés dans ma robe ocre fleurie. Je vois aussi son short se déformer sous l’envie, et cela m’émoustille comme à vingt ans.
    
    Il ne se fait pas prier quand je lui propose de se nettoyer et un rafraîchissement. Je le précède dans la maison et soudain, mue par une pulsion animale incontrôlée, je me tourne brutalement et colle mes lèvres aux siennes. Il me prend brutalement dans ses bras, m’embrasse à m’étouffer et je pense l’histoire d’un instant que ma robe est fichue, souillée par ses mains noires de réparateur. De sa main droite, il a remonté ma robe et branle violemment ma petite culotte blanche. Il me secoue la chatte comme jamais ; je me sens mouiller comme une chienne et j’ai envie de le sucer très fort. D’un coup sec, il abaisse ma culotte jusqu’aux genoux et met trois doigts dans ma fente toute épilée qu’un simple petit triangle de poils roux blonds décore. Je jouis déjà ! Je le repousse un peu, m’attaque à son short noir et sors sa bite déjà dure.
    
    — Cela vous embête si je vous suce un peu ? J’en ai tellement envie…
    — Je vous en prie, faites. Je m’appelle Francis ; et vous ?
    — Myriam.
    
    Je m’accroupis sur mes hauts talons, écarte les cuisses à faire craquer mon slip et j’enfourne son engin jusqu’à la glotte. Je suce comme une damnée, enfonce sa bite jusqu’aux couilles, lèche, crache, souffle. J’utilise son sexe comme une matraque et me gifle le visage. Il me ...
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