Les entremetteuses
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
vacances,
campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... toute l’année pour pouvoir faire la fête et m’envoyer en l’air avec les jeunes mâles qui font les gigolos auprès des femmes seules, contre contribution financière évidemment ! » Le jeune serveur grec chargé des boissons vint s’enquérir de mes désirs dans un anglais parfait. Je lui fis donc naturellement ma commande dans la même langue.
— Tu as vu les yeux qu’il a ? J’ai failli mouiller ma petite culotte…
Bien entendu, c’était Mimi qui bavait d’admiration devant ce jeune éphèbe bronzé et tatoué.
— Il faut que tu m’arranges le coup avec ce demi-dieu, et surtout que tu négocies son tarif ; moi, je ne parle pas un mot d’anglais et je veux finir mes vacances en feu d’artifice !
C’était la meilleure de l’année, celle-là ! Cette fois-ci, c’était moi qui devenais négociateur-entremetteur : le monde à l’envers. J’ai refusé. Mimi a insisté lourdement et m’a promis, en contrepartie, de m’indiquer une touriste française de l’hôtel qui aurait bien aimé que je m’intéresse à elle.
La négociation financière avec le serveur réalisée et le rendez-vous avec Mimi fixé, la coiffeuse, avec son charmant accent du Sud, me révéla l’identité de mon amoureuse.
— Je me suis retrouvée au jacuzzi avec la dame qui t’a demandé d’aller repêcher son bracelet en or au fond de la piscine, et on a papoté. Voilà, c’est elle.
— La rouquine qui est en vacances avec sa mère ? Je te remercie, mais elle n’est pas terrible !
— Tu ne te prends pas pour Leonardo DiCaprio, quand même ?
J’étais ...
... rhabillé pour l’hiver ; mais bon, elle n’était quand même pas terrible, la nana !
Mon sauvetage s’était passé la veille. La Française, blonde, la cinquantaine, avait repéré mon polar en français au pied de mon bain-de-soleil et avait demandé mon intervention. Elle ne voulait pas plonger et se mouiller les cheveux frisés déjà mal en point à cause du soleil. On ne pouvait vraiment plus dire que c’était une blonde flamboyante : la couleur originelle de ses cheveux était bien ternie. Bref, je la suivis vers l’endroit où sa mère, appuyée sur sa canne le long du plan d’eau, surveillait le bijou coulé.
La dame avait les chevilles fines, mais au-dessus des genoux, les jambes, bien galbées au départ, s’élargissaient en se terminant mollement sur des anches larges et quelconques. Le maillot une-pièce, bleu marine et mouillé, collait contre ses fesses plates. Ses seins pesants pendouillaient un peu, mal soutenus par les bretelles lâches du maillot. Par contre, quand elle s’accroupit sur le bord de la piscine pour se saisir du bracelet que je lui tendais, une découverte me surprit : le tissu humide de son maillot moulait parfaitement la chatte de la rouquine. Deux renflements anormalement longs encerclaient la fente. J’avais même l’impression que le bas de sa foufoune débordait sous les cuisses, dans l’ouverture des jambes béantes.
— Ne réfléchis pas trop longtemps, Pierre, car la mère et la fille reprennent l’avion demain dans la nuit. Si ça peut t’intéresser la blondasse, comme tu ...