Les entremetteuses
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
vacances,
campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... concentrée sur le décorticage, n’avait pas pris conscience de l’indécence de sa position : je bénéficiais d’une vue imprenable sous la jupe relevée au-dessus des genoux. Ce n’était pas des collants, mais des bas verts qu’elle portait. Les pauvres, étirés à l’extrême, enveloppaient le haut de cuisses gigantesques, mais fermes cependant. La spacieuse petite culotte, en tissu synthétique, était toute simple, bleu ciel, avec deux fins rubans de broderies blanches qui encerclaient les cuisses. Le fin tissu tendu moulait cependant parfaitement le minou de Claire : je distinguais nettement les deux renflements qui encerclaient la fente qui semblait aspirer le textile.
Quand l’invitée surprise arriva et que Natou nous la présenta, je pressentis de suite le coup monté de toutes pièces par ma frangine. Comme par hasard, sa prof de peinture était divorcée, elle avait aussi mon âge et rêvait d’habiter dans une maison avec un grand jardin très fleuri. Elle adorait les chiens.
Le problème, c’est que cette dame – au demeurant fort sympathique, intelligente et agréable à regarder – refusait de manger de la viande. Ma sœur avait donc conçu un repas de poissons pour tout le monde. En outre l’invitée – dite surprise – ne supportait pas l’exposition au soleil et encore moins les plages au sable chaud et la mer, car elle savait à peine nager. Ses vacances privilégiées consistaient à crapahuter sur des sentiers de randonnée pourris avec le sac à dos et, de préférence, dans des régions ...
... inconnues du commun des mortels.
Bref, on se quitta poliment et Natou, vexée de l’échec de sa vocation autoproclamée d’entremetteuse, jura que plus jamais elle ne s’occuperait de mon avenir sentimental.
Il faisait déjà presque noir quand on regagna nos voitures. Le mari de Claire me demanda d’avoir la gentillesse de reconduire son épouse ; c’était sur ma route et ça lui évitait un aller-retour inutile et d’arriver à l’heure au meeting de soutien à son candidat.
Comme son pavillon, plongé dans le noir, était en retrait de la route et qu’elle n’était pas très rassurée de rentrer seule chez elle, elle me demanda de l’accompagner au cas où… Après une inspection qui la rassura, je m’apprêtais à prendre congé.
— Natou me parle quelquefois de toi ; elle est triste que tu n’aies pas de copine. À bien y réfléchir, on est dans la même misère sexuelle tous les deux, non ? Je ne suis pas une fanatique des galipettes, mais une fois de temps en temps, je n’ai rien contre. Si on s’offrait une petite parenthèse dans notre vie bien monotone, juste une petite baise sans lendemain… Ni vu ni connu, ça te dit ? Mais ne te sens pas obligé par charité.
Je suivis Claire dans l’escalier qui menait aux chambres. Je lui avais demandé de se débarrasser de sa jupe avant qu’elle ne monte, histoire de me motiver et de me rincer l’œil. C’était encore mieux que ce que j’avais imaginé : une gigantesque croupe ondulait à hauteur de mon visage. Il aurait été criminel de ma part d’envisager d’autre ...