Les entremetteuses
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
vacances,
campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... perspective que d’enfiler la copine de ma sœur en levrette, la queue bien raide noyée entre ses énormes fesses béantes.
Je me retrouvai nu dans la chambre d’amis avec Claire qui, elle, ne portait plus que ses bas. Sa chevelure abondante laissait déjà présager une foufoune bien poilue ; j’étais en dessous de la vérité… Quelle touffe ! Une toison hirsute et dense découvrant à peine son minou dodu. Assise sur le lit, ma partenaire avait décidé de commencer les hostilités en m’octroyant une fellation, ma foi fort honorable. Après s’être essuyé la bouche d’un revers de main, elle m’annonça que c’était à son tour de bénéficier de mon savoir-faire. Obéissant à ses directives, je m’adossai au lit, assis sur la moquette. Souriante, elle plaça une jambe de part et d’autre de mon corps, fléchit les jambes et frotta sa chatte sur mes lèvres au-dessus de mon visage, les cuisses bien ouvertes. Claire était visiblement en manque, car dès les premiers coups de langue elle mouilla très vite. Quand, en plus, je lui introduisis deux doigts dans la fente, elle commença à pousser des petits cris de plus en plus rapprochés. La sentant partie, j’accélérai le rythme et j’en profitai pour lui enfiler l’index de ma main inactive bien profond dans son trou du cul, en essayant de synchroniser l’ensemble. Finalement, elle poussa une espèce de long râle et mon visage fut inondé.
Claire m’essuya la bouche avec sa grande « petite culotte » avant de se frotter l’entrejambe avec la lingerie bleu ...
... ciel. Comme prévu, je la pris en levrette. Elle me tourna le dos avant de poser son buste sur le lit, la tête de profil sur un oreiller. Elle garda les pieds au sol pour m’offrir sa croupe béante, tendue vers le plafond. Elle ne reçut qu’une petite giclée, mais bon, je n’étais plus un fougueux étalon. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, vu mon abstinence, mais le moral revint.
On se quitta bons amis, se promettant de garder le contact au cas où l’un de nous aurait une petite envie, mais pas tout de suite ; dans quelque temps…
Moi, je lui avais subtilisé discrètement dans le bac au linge sale sa grande « petite culotte » bleu ciel, imbibée de ses odeurs suaves. Ce n’était pas un trophée, mais un souvenir qui pourrait éventuellement me servir pour une petite gâterie de célibataire.
Jusqu’au printemps, notre liaison se prolongea ; un e-mail et, sans se prendre la tête, chez moi ou chez elle on se faisait une partie de jambes en l’air. Un jour, chez elle, Claire me fit la surprise de m’ouvrir la porte, perchée sur des hauts talons et simplement vêtue d’un string fuchsia et de bas. Vues de dos, ses énormes fesses séparées d’une ficelle minuscule et sa moule qui débordait, vue de derrière, de part et d’autre de la ficelle me récompensèrent de mon déplacement sous un déluge d’averses orageuses. C’est d’ailleurs ce jour-là, alors que je me rhabillais tranquillement, qu’elle m’apprit que ma sœur avait désormais un amant depuis quelques semaines. D’après Claire, Natou ...