Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (1)
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... père ?
— T’as pas vu comme ta mère me mate, et tous les compliments que je fais, et comme je parle de cul devant eux, et lui il dit rien, il s’écrase. Si c’était pas toi, je me la baiserais ta mère.
— Arrête, t’es con.
— J’ai dit si c’était pas toi.
— Ouais, ok.
— Bon allez, la première leçon est finie. Tu vas me chercher une bière.
Il ne s’agissait pas d’une question, mais bien d’un ordre. Je me suis rhabillé, lui aussi, et je suis sorti vers la cuisine ; je n’ai évidemment rien dit, mais heureusement qu’il a mis fin à cette « leçon » car j’étais à deux doigts de jouir, vraiment beaucoup. En revenant j’ai trouvé Karim dans la chambre de ma sœur, ils étaient sur son lit, à moitié allongés, ils discutaient.
— Ah ma bière, pas trop tôt.
Ma sœur s’appelle Delphine, elle a deux ans de plus que moi, est à la fac et a hérité de ma mère une sacrée paire de loches, qu’elle adore mettre en valeur avec de gros décolletés. Ma mère ne dit rien parce qu’elle fait pareil et je réalise à l’instant où je les vois tous les deux que mon père ne dit rien parce que... parce que c’est comme ça. Et si Karim avait raison... Karim : je le vois qui ne perd pas une miette du corps de Delphine. Ils riaient. Je tendais la bière à Karim, Delphine me regardait l’air méprisant ; Karim ...
... se leva, à ses côtés j’étais vraiment ridicule. On est retourné dans ma chambre, Delphine a juste dit :
— Ecris moi.
Karim lui a juste fait un clin d’œil. Une fois dans la chambre :
— Pourquoi tu dois lui écrire ?
— Pour rien. T’inquiètes.
Je laisse filer, parce que j’ai peur de ce que cela veut dire.
— Mais, avec Isa, tu vas m’aider ?
— Ouais ouais t’inquiètes, on a deux semaines pour tout préparer pour la soirée.
— Merci Karim.
— T’inquiètes ma petite lopette. Eh eh. Allez, tiens, sors ton petit zizi et profite de la vidéo.
Il me donne son tel avec la vidéo de notre prof qui le suce. J’hésite puis baisse mon froc et commence à me branler. Je n’ai pas fait gaffe mais Karim me filme avec son autre tel. Il éclate de rire quand je jouis en à peine une minute.
— Putain, t’es vraiment naze mon vieux. Va y avoir du boulot pour Isabelle.
Il a récupéré ses portables, m’a demandé de lui dire tout ce que je savais sur Isabelle. J’ai du faire ses devoirs, lui cirer ses pompes, lui servir à boire. Il est parti quand mes parents sont rentrés ; j’étais peut-être parano, ou bien je fantasmais dessus, mais je sentais qu’il voulait ma sœur et ma mère. Mais je pensais surtout à Isabelle. Avec Karim de mon côté, mes chances étaient réelles. Enfin, je le pensais.