Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (1)
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... avant cet été là, malgré son succès indéniable auprès des filles n’en jouait pas trop ; cela dit, une chose qu’il adorait plus que tout, était de sortir avec une fille dont il savait qu’un autre mec la courtisait ou la désirait ; il prenait un malin plaisir à devancer cet autre mec. Il l’avait fait plusieurs fois, avec réussite. Il savait que depuis un an je désirais une fille plus que tout, et ne s’était jamais attaqué à elle. Il y avait une limite, notre amitié, et il l’avait toujours respectée.
De la même manière, si d’autres mecs ne se gênaient pas pour se moquer de moi ou me malmener un peu, lui n’avait jamais cédé à cela. C’était particulièrement vrai dans notre équipe de rugby. Lui jouait demi d’ouverture (mais je ne doutais pas qu’avec son changement de gabarit, le coach le déplacerait rapidement en troisième ligne), moi je jouais ailier ; enfin quand je jouais, c’est-à-dire jamais. Mes coéquipiers se moquaient allègrement de moi, de mon physique et d’une partie en particulier : mon sexe. Dans les vestiaires, nous étions souvent nu, et je ne pouvais cacher ce qui s’apparentait à un tout petit sexe. Je l’avais mesuré, je ne le cache pas : en érection j’atteignais péniblement les 7 ou 8 centimètres de long et à peine 1 centimètre de large. Et ça c’était au comble de l’excitation. Les surnoms sont vite venus : « p’tite bite », « zizi », « p’tite nouille », « l’escargot », et plus tard « la lopette ». Ce dernier qualifiait autant la petite taille de mes attributs ...
... que mon caractère définitivement soumis et docile. Ces surnoms et ce qu’ils cachaient, filtrèrent assez rapidement hors des murs du vestiaire. Karim lui, n’en faisait jamais usage à ma connaissance.
Jour de rentrée donc, année de terminale. J’arrive au lycée, et je ne pense qu’à deux choses : retrouver Karim, et rigoler avec lui, et surtout voir, ou ne serait-ce qu’apercevoir l’objet de tous mes désirs : Isabelle. Isabelle était dans ma classe depuis sept ans. Comme Karim. Une jolie brune, des yeux bleues, un sourire éclatant, 1m65, 55kg je dirai (c’est Karim qui me l’avait dit, il a l’œil pour ces choses-là riait-il) et une jolie poitrine qui, selon la même source devait faire dans les 90c. Un superbe cul bien ferme. Isabelle a une sœur jumelle, de vraies jumelles, Nathalie, mais curieusement Nathalie ne m’a jamais fait le même effet. Je suis envouté par Isabelle. J’ai passé mon été à penser à elle, à a voir aussi, avec d’autres gens bien sûr, et à souiller mes slips très régulièrement. On s’entend bien mais il ne s’est jamais rien passé évidemment, puisque je suis bien incapable de tenter quoique ce soit. Je suis à peine dans le lycée depuis deux minutes, que je la vois : il fait une très belle journée de septembre, il fait doux, elle porte une minijupe et des bottines à talons, un chemisier mettant en avant sa silhouette de rêve. Elle est avec ses copines. Ce n’est pas la plus belle fille du lycée, mais elle plait. Je ne la quitte pas des yeux, elle me voit, me sourit, ...