Le piège de dentelle
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
f,
fplusag,
couple,
extracon,
fépilée,
magasin,
hotel,
collection,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
Humour
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... Qu’y puis-je ? Reste que ça m’a bien plu, un homme plus jeune, et un bel homme que celui-là ! Une idée me vient, juste pour rire, histoire de briser le silence et la gêne qui se sont installés.
— Et à trois ? Ce serait bien à trois ! Je joue au prof, je te la forme ta copine ! dis-je secouée par un fou rire.
— Qu’est-ce que… qu’est-ce que tu dis ? s’esclaffe-t-il. À trois ?
— Et puis, une occasion de me faire une fille ! Je l’ai fait, y a longtemps, je ne me souviens plus… ajouté-je, toujours en riant et ravie de le provoquer.
Du coup il se redresse, et se tient assis sur mes cuisses.
— Tu plaisantes ! Mais jamais elle voudra ! Tu te rends pas compte !
— Ah ! Jamais « elle » voudra ! Mais dis donc, toi, tu ne dirais pas non, hein ?
— Je rêve, je rêve… murmure-t-il, abasourdi.
— C’est simple. Dans ces cas-là, le classique « je la prépare, tu la finis ». Tu vois le programme ? ajouté-je hilare.
— Non, mais c’est pas vrai ! Tu charries ! s’offusque-t-il.
— Si tu veux me revoir… aller, avoue ! Avoue que ça te plairait !
Je ris franchement de mon envolée. Il se sent piégé. Je l’ai eu ! Ah les hommes ! Le fantasme d’une partie à trois… Il rit, et sa position lui permet de me caresser le ventre, de me prendre les seins à pleines mains. Me redressant un peu je dégrafe mon soutif pour libérer mes pommes d’amour. J’en suis fière de mes appâts. Ronds, « encore » fermes, dotés de petits mamelons qui se hérissent à la bonne taille, celle juste complice des lèvres et ...
... d’un bout de langue. Il siffle doucement d’admiration et doucement, un sein dans chaque main, il me malaxe, entraînant et roulant les tétons entre ses doigts. Je ronronne. C’est divin. Je l’admire avec ses épaules musclées qui me dominent, son ventre plat animé par des abdominaux tout juste marqués. « Un étalon ! » pensé-je émue. « Un étalon qui m’a fait l’amour comme un dieu, et que j’ai su surprendre par des pratiques érotiques » me dis-je fière et comblée.
Je ferme les yeux. Je suis bien, me laissant aller sous ses caresses. Imperceptiblement, ma main descend vers mes cuisses, je les écarte, un doigt cherchant mon clito, l’entrée de ma grotte secrète. Je mouille, beaucoup, et un deuxième doigt rejoint le premier. Je frémis. Loin, très loin, j’entends un « Clara ! Eh ! », et une voix, la mienne, balbutier : « Continue, continue, laisse-moi faire ». Soudain je crie, crispe mes cuisses, les ouvrant davantage. Stéphane poursuit son massage et je me concentre sur le plaisir provenant de mes seins, de celui de mes doigts. Seule une femme est capable de se donner un plaisir maximum ; question de rythme, d’intensité, de savoir alterner les pressions sur le bouton à la pénétration d’un doigt, puis de deux ou de trois. À nouveau je gémis, je sens ma jouissance venir, puissante, de mon plus profond. Je me mords les lèvres, me fouillant à présent des deux mains, et cambrée, fesses levées, je vais comme chercher très haut ma délivrance, cette explosion violente où j’expulse dans un ...