Rester ou partir ?
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
fh,
plage,
jalousie,
Oral
pénétratio,
aventure,
Auteur: Filou, Source: Revebebe
... ventre, et ses fesses fermes et pleines pointent vers moi ; c’est comme un aimant, et je ne peux m’empêcher de les effleurer. Elle se réveille à nouveau et écarte doucement ses jambes pour m’ouvrir le chemin vers son puits d’amour, comme elle l’appelle. Je glisse ma main vers une zone chaude et humide, commence à la caresser jusqu’à ce qu’elle se mette à trembler et qu’elle se retourne.
— Baby, viens vite dans moi, vite !
Nous faisons lentement l’amour avant que le sommeil nous prenne, enlacés l’un à l’autre.
Le jour d’après, j’informe Catherine que j’ai réussi à réparer la drisse du bateau.
— Il va falloir faire vite : il m’a reproché de passer trop de temps avec toi.
— Il faut attendre que le vent souffle du sud ; autrement, sans moteur, ce serait trop dur de sortir de la baie. Cela arrive régulièrement ; attends mon signal. On va s’éviter en attendant.
Nous répétons notre plan dans les moindres détails et nous nous séparons avec un long sourire.
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Ce matin, je me lève et constate que finalement le vent souffle du sud ; le lagon est plat comme un lac et quelques mètres plus au large des crêtes blanches se forment. Voici cinq jours que j’attends ce temps. Je vais pêcher normalement.
En rentrant, j’essaie de croiser Catherine. Je suis un peu inquiet car je la vois de moins en moins ; par contre, Manfred est tout le temps, là, à me demander des nouvelles. Hier, il est même venu pêcher avec Alessio et moi.
Je me rends ...
... à la cuisine, et finalement y trouve ma femme en train d’éplucher des légumes avec Marion ; elles sont en pleine discussion. Peut-être comparent-elles mes prouesses sexuelles ? Enfin, ça m’étonnerait beaucoup. Mon regard croise celui de Catherine, et nous nous comprenons : c’est pour cette nuit !
Ça me coûte beaucoup, mais ce soir je dilue quelques gouttes de Valium dans le verre d’eau que boit Babette avant de s’endormir. Catherine devrait avoir fait de même avec le « guide » ; je lui ai demandé de forcer sur la dose. Vers une heure du matin, le vent souffle toujours ; je prépare mon sac rapidement, je n’ai pas voulu le faire avant, de peur que Babette s’en aperçoive. Je quitte la case et me dirige vers celle de Thomas. Je me poste devant, et avec ma torche fais des appels à Catherine comme convenu. L’attente est longue. Après cinq minutes, je commence à flipper, mais la voilà à l’entrée, elle me fait signe.
J’entre, l’embrasse rapidement, et comme convenu nous nous approchons de Thomas qui semble dormir allongé sur lit à même le plancher. Elle me confirme par signes qu’il a ingurgité le Valium. Je sors une matraque en bois – non, une massue – que j’ai préparée avec amour en la taillant et la polissant. Je me penche et lui assène un grand coup sur le crâne, mais au dernier moment il se dérobe, se relève et fonce sur moi. Je suis tellement surpris que je ne réagis pas à temps et me prends un grand coup poing dans la figure ; je m’écroule comme un pantin. En jurant des ...