Scripta manent. Un Gremlin dans les glandes
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
grosseins,
hotel,
voyage,
train,
strip,
Masturbation
intermast,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... taille. Je commence très sérieusement à avoir envie de ce corps qui s’harmonise si bien au mien.
Au cours du bref trajet en métro, je peux l’admirer de face. Elle entrouvre son tailleur, en me regardant à nouveau droit dans les yeux. Elles ont quoi, ces temps-ci, à me dévisager de la sorte ?
En tout cas, le courant passe. Chaud le courant, très chaud.
Soudain, elle décroche les premiers boutons de sa blouse et laisse apparaître ses seins, pour le plus grand plaisir du voisin qui commence à bander illico.
Bienvenue au club !
Son ventre s’approche de plus en plus du mien à chaque secousse du train. Elle irradie la chaleur, ma queue se tend et la heurte plusieurs fois. Juste avant la Gare du Midi, elle caresse mon visage et murmure :
— Vous voulez descendre, ou on continue un peu ensemble ?
Je prends ses hanches entre mes mains, serre son ventre contre ma verge déjà bien gonflée et lui roule un patin d’enfer. On laisse le métro repartir. Quelques stations plus tard, la pression est montée de plusieurs crans et nous avons copieusement amusé la galerie. Juste avant que je ne commence à lui arracher ses habits sur place, elle me pousse hors du wagon et m’entraîne en courant chez elle.
A peine la porte refermée, elle m’enlève manteau et veste et s’attaque prestement à ma chemise. Au moment où je veux m’emparer de ses seins, elle recule et commence un strip-tease excitant en diable. À chaque pièce de vêtement qui tombe, elle approche de ma bouche ce ...
... qu’elle vient de dénuder pour me le faire lécher. Je déguste avec application les larges bouts de ses seins qui durcissent sous ma langue, j’humecte la fine peau de ses aisselles, flatte son ventre frémissant et me délecte de la porte de ses ravissantes fesses.
Elle accompagne tous mes frôlements, mais dès que j’avance les mains, elle s’échappe et reprend son manège. Elle est tellement bandante que j’ai peur de démarrer trop vite. J’ai déjà failli cracher quand elle a glissé ses mamelons entre mes lèvres et je n’ose pas imaginer ce qui m’attend, si elle fait encore durer le plaisir. En panne d’activité depuis des semaines, mon thermostat est mal réglé, il y a risque de surchauffe.
Je suis comme un gamin devant un magasin de friandises. Je ne sais pas par quoi commencer, je voudrais tout toucher, tout lécher. Et des friandises, elle en a à offrir ! Des seins lourds, fermes, tendus d’envie. Une peau douce et chaude. Un cul d’enfer, étroit, musclé, qu’elle enfonce contre mon ventre en se caressant les seins. J’embrasse à pleine bouche ce qui passe à ma portée. Je suce, je tète, je fais mouiller, je bande, je dégouline dans mon slip, je commence à parler allemand…
J’avance mes reins pour la rejoindre et me fondre en elle. J’ai tellement envie de me glisser entre ses fesses, de la ravager et de me vider tout au fond d’elle. Elle ne semble pas en reste. M’interdisant toujours de m’emparer d’elle, elle se caresse l’entrejambe pendant que je la parcours de milliers de baisers ...