Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
Humour
Hardcore,
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... qui tenaient les guêtres et par un long lacet que je mis une éternité à défaire. Mais le résultat en valait la chandelle ! Ma belle se retrouva vêtue d’une paire de chaussettes en coton et d’un string en soie noire ! C’était une véritable œuvre d’art : une photographie artistique en noir et blanc, comme on savait les faire dans la première moitié du vingtième siècle, ou une peinture d’un grand maître figuratif du dix-huitième siècle !
Je me demandai ce que je voulais lui enlever en priorité : le string ou les chaussettes ? J’optai, je ne savais pas trop pourquoi, pour les chaussettes. Au bout de l’opération, je découvris deux merveilleux pieds, bien blancs, bien lisses et brillants. J’avais rarement rencontré des pétons aussi beaux. Ils n’étaient ni trop grands, ni trop petits ; les orteils étaient superbement dessinés, fins et longs. D’évidence elle soignait ses pieds, comme elle soignait ses mains et tout le reste de son corps. D’habitude, les femmes - tous comme les hommes, d’ailleurs - négligeaient leurs pieds, pensant, faussement, qu’ils n’intervenaient pas dans l’harmonie d’ensemble du corps. Faouzia, elle savait que ses pieds étaient aussi sensuels que toutes les autres parties de son corps. J’en pris un dans mes mains pour le porter à ma bouche et l’embrasser avec gourmandise. Il était doux et lisse; et il sentait si bon, malgré qu’il avait été enfermé toute la journée dans un soulier en cuir. Je me mis à le lécher, tirant de ma belle un petit rire de ...
... contentement. Elle semblait étonnée que je lui fasse cela (embrasser les pieds était, dans nos contrées, un signe de honteuse soumission); mais elle se laissait faire avec un plaisir évident. C’était certainement la première fois qu’elle était embrasée ainsi: elle roucoulait de satisfaction et riait parce que mes lèvres et ma langue la chatouillaient.
Elle était allongée en travers du lit, les jambes se balançant dans le vide (le lit étant relativement haut). J’avais une superbe vue sur tout son corps : sur ses seins pointant vers le plafond de la chambre ; sur son petit nombril rond et magnifiquement dessiné; sur son ventre plat ; sur son pubis que ne cachait plus que le petit bout d’étoffe de son string ; sur ses longues cuisses blanches, luisantes et entrouvertes ; sur ses genoux ronds et lisses ; et sur le tringle de son entrecuisse, que recouvrait le string et qui appelait mes caresses. Je me mis à genoux entre ses jambes, lançant mes deux mains sur son ventre qu’elles caressèrent longuement avant de descendre, l’une sur un genou, l’autre allant prendre possession de sa chatte à travers le fond du string.
Au contact de ma main sur sa chatte, Faouzia eut un petit cri de plaisir et remonta ses hanches. Le fond du string était complètement mouillé. J’introduisis un doigt pour écarter le string et faire apparaître le paradis. La chatte de ma mie était à l’image de tout le reste : belle et sensuelle ! Et brillante de mouille ! Il n’y avait pas la moindre trace de poils, ni sur le ...