Hélène (19)
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: rouge22, Source: Xstory
Je trébuche, mes jambes me lâchent, je tombe, un bref instant je sens une traction sur l’anneau de mon crane. Je panique, je vais être pendue.
Mes jambes me lâchent...
Mais mes pieds ne touchent plus le sol, je suis soutenue à la taille, je ne suis plus tirée vers le haut. Je ne sais combien de bras me portent, je suis en apesanteur.
Autour de moi, j’imagine mes trois bourreaux qui me soulèvent. Non pas trois, mais quatre, je reconnais la douce odeur naturelle de mon Pierre adoré. Il s’est joint à eux pour me supplicier. Merci mon chéri.
Un clic, ma tête retrouve sa liberté, je la laisse aller, supportée par ma minerve. Deux autres claquements, et mes mains sont déliées. On libère mes épaules des liens qui les maintenaient en arrière. On m’allonge sur une couche moelleuse. Je me repose avant mon épreuve suivante.
Pierre
Les trois hommes font tomber leurs slips, un des costauds tire au milieu de la scène un banc de musculation, et s’installe, le mat dressé. Les deux autres se dirigent vers la femme allongée
Hélène
Je viens à peine de commencer à récupérer qu’on s’occupe de moi
Mes cuisses sont écartées, je suis fouillée, une traction sur la ficelle, je sens les picots des boules frotter sur mes petites lèvres. Mais on ne libère pas mes seins
On me roule sur le ventre, on crochète le leurre qui occupe mon anus. On tire. Mon œillet s’ouvre, me libérant de l’encombrant objet. Un court instant, je sens comme un courant d’air dans mon intimité la ...
... plus profonde.
Mes trois orifices sont maintenant disponibles. D’un coup, je réalise ce qui m’attend. Je vais être livrée à ces trois hommes. On me menotte à nouveau. Puis je suis assise et soulevée, une main sous chaque cuisse, et deux dans le dos pour me maintenir.
On me porte, puis doucement on me fait descendre. Un contact dur sur mon anus. Je me crispe. Je me débats, moi qui aime tant que mon chéri me pénètre par là. Mais tout en moi refuse la sodomie par un autre.
On me soulève, des doigts fouillent ma chatte, et y récupère ma mouille, ces mêmes doigts lubrifiés forcent ma rosette et m’écartent. On présente à nouveau mon orifice le plus étroit au Priape dressé.
Lentement, le gland durci fraie son chemin dans ma chair. Je pleure, pas de douleur, mais de désespoir. Pourquoi ai-je voulu ce partage. Pourquoi lui ai-je demandé de me livrer.
Mon sphincter a cédé sous la force brute. Je suis empalée.
Mon sexe est aussi sollicité, une bite de belle taille s’y introduit. Je suis résignée, je m’abandonne à cette double pénétration. Les deux vits s’agitent en rythme. Mes seins sont secoués, la chaine les reliant tire sur mes tétons, mais je ne sens presque rien, je suis comme anesthésiée
En bas, aucun plaisir, je ne ressens que des frottements dans le bas de mon corps. Je n’arrive pas à me détendre.
Une main ferme s’empare de ma natte et me tourne la tête, une queue passe dans l’anneau qui me bâillonne. Un chibre imposant glisse entre mes mâchoires et pousse ...