1. Bonus Malus (7)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: Severine45, Source: Xstory

    ... intérêt à allumer mon archi, au contraire, ma réputation pouvait en pâtir. Mais j’étais surexcitée et n’étais plus capable de raisonner à ce point.
    
    En rentrant à mon bureau, la première chose que j’ai fait, et pour la première fois de toute ma carrière, je me suis masturbée sur mon fauteuil en imaginant que mes agents me prenaient ensemble entre les sacs de ciment. J’ai jouis en moins d’une minute !
    
    — Et bien ! Pour une histoire que vous disiez sage, je l’ai trouvée au contraire très chaude ! Et surtout, je suis étonnée de voir à quel point vous avez été volontaire et même complice dans cette séance d’exhibition… Dois-je comprendre que vous commenciez à vous prendre au jeu, voire même à prendre plaisir à satisfaire de la sorte vos employés ?
    
    — Je me prenais au jeu, c’est évident. Et je prenais plaisir aussi, en tout cas au début. Et pendant longtemps, ce jeu est resté plaisant, excitant, jouissif, même. Mais comme la plupart des jeux sexuels, les choses sont progressivement devenue sérieuses, très sérieuses à mesure que mes agents me considéraient, non plus comme une directrice qui accorde des faveurs, mais comme une pute que l’on peut utiliser dès qu’on en a les moyens !
    
    — Cela faisait maintenant plusieurs mois que vous aviez accepté ce système de bonus et jusque-là, vous aviez maîtrisé la situation. Qu’est-ce qui a changé ?
    
    — Et bien, déjà, il y a eu tout simplement le fait que les agents qui m’avaient déjà vu à poil une paire de fois voulaient d’autres ...
    ... choses, plus hard, quitte à attendre d’accumuler plus de points. Autre raison, plus de gens se sont mis à profiter de cette « offre » : des hommes mariés que je n’avais pas vu au début ont finalement cédés, des gars avec de grosses ardoises qui ont pris leurs temps avant de venir, des femmes qui, avant, n’osaient pas franchir le pas. Et puis une ambiance de plus en plus chaude s’installait dans les bureau, ambiance entretenue par les demandes collectives qui m’obligeaient à me montrer provocante en public et qui me rendaient moi-même coquine. J’en venais à tolérer et à rechercher des abus qui j’aurais dû limiter.
    
    — Concrètement, comment était l’ambiance de travail de tous les jours avec ces demandes ?
    
    — Et bien, déjà, j’avais quasiment une demande collective par semaine, émanent souvent d’un service en entier ou d’une équipe qui s’était mis en commun. Je devais par exemple m’habiller sexy et passer dans le service en question plusieurs fois par jour pour des raisons souvent bidons et jouer les allumeuses, que les agents « allumés » soient au courant au pas. Pour vous faire comprendre, une fois, j’ai dû mettre une jupe hyper courte et des bas dont la dentelle se voyait à chaque pas et une chemise très décolletée. Je me suis rendue ainsi habillée en pute, pardonnez-moi le terme, au service RH pour faire signer des documents, dicter des courriers ou parler à des collègues. Ainsi, en dictant un courrier à une secrétaire de 58 ans qui n’avait rien demandé à personne, je me ...