1. Bonus Malus (7)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: Severine45, Source: Xstory

    ... hommes se jetant sur moi pour me baiser m’a alors fait frissonner de terreur et m’a fait dire que je jouais vraiment à un jeu dangereux. Pourtant, je devais bien admettre que je restais très excitée et que, désolée de le dire ainsi, je sentais que mon string était trempé !
    
    La visite de chantier c’est terminée avec une partie consacrée à l’étude des plans pour les travaux à venir et avec une discussion entre moi, l’archi et l’équipe. Pour étudier les plans, posés sur une grande table au milieu d’une pièce en travaux, j’étais « obligée » de me pencher en avant pour aller chercher telle partie de plan, pour passer telle autre à un des ouvriers que me la demandait, pour regarder précisément les gaines électriques, etc. Bref, je profitais de la moindre raison pour mettre mon beau décolleté sous le nez de gars qui ne perdaient pas une miette. Dans cette position, penchée en avant, ma chemise ouverte laissée voir sans difficulté une bonne partie de mon soutien-gorge et de ma poitrine et, derrière, ma jupe se relevait presque au niveau de mes fesses. Il y avait donc des agents devant et derrière moi qui changeaient de place à tour de rôle, en prétextant vouloir étudier tel ou tel coin des travaux. J’étais entourée de prédateurs qui me dévoraient du regard et moi, excitée, je m’en amusais et me livrais.
    
    Pour la partie discussion concernant le ressenti de l’équipe, ce qui restait à faire, ce qu’on avait fait et qui devrait être modifié, etc., nous nous sommes assis comme on a ...
    ... pu. Certains étaient sur des piles d’agglos, d’autres des pots de peintures, d’autres encore sur des sacs de ciment. L’archi et moi avions droit à des sièges. Pendant que nous échangions, je croisais et décroisais les jambes, montrant brièvement le début de mon entre-jambe. L’architecte, à côté de moi, ne pouvait pas profiter du spectacle autant que mes agents, tous assis en face, mais ne pouvait s’empêcher de reluquer mes cuisses à chaque fois que j’entamais un décroisement de jambes. Et de la même manière que tout à l’heure dans le couloir, j’ai cédé à une nouvelle pulsion alors que rien ne m’y obligeait : pendant que l’archi était penché vers sa mallette pour chercher un document, j’ai décroisé bien haut et bien lentement les jambes pour offrir aux gars une vue imprenable sur mon string. Le mouvement n’a duré que 2 ou 3 secondes, le temps que l’archi relève la tête, mais il m’a parût durer une éternité car j’avais le sentiment de m’offrir complètement à un groupe d’homme en rut alors que j’étais leur directrice.
    
    La réunion s’est terminée tout de suite après et nous sommes rentrés au bureau. J’ai raccompagné l’archi qui était venu sur le chantier dans le fourgon de l’équipe bâtiment mais qui, bizarrement, a préféré rentrer dans ma voiture. A l’intérieur, j’ai évidemment fais en sorte que ma jupe remonte le plus possible pendant que je conduisais pour lui rincer l’œil. Là encore, rien ne m’obligeait à faire cela, aucun point bonus n’était à récupérer. Je n’avais aucun ...