1. Voici ce que je crie


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: wilparis75, Source: xHamster

    ... nouveau, ce fut pour me rappeler les torrides ébats saphiques de ces filles sur papier glacé. Sans plus chercher à chasser ces visions, j’enduisis mon majeur de salive et le frottai délicieusement entre mes grandes lèvres. Peut-être que si je n’avais pas à lui faire ça… Peut-être que si elle souhaitait seulement me le faire… Ça ne pouvait pas être si différent d’avec un homme, après tout. En tous cas, c’était sans doute plus délicat. Une fille devait mieux comprendre ce qu’une autre fille désirait. Être patiente, prendre son temps. Je passais brièvement en revue le cercle de mes amies. Laquelle pourrais-je sérieusement imaginer à quatre pattes entre mes cuisses ? Aucune ne semblait convenir. En fait, c’était la grande brune du petit livre plastifié qui me faisait craquer. Elle avait un corps superbe, léger et harmonieux. Elle avait tout ce que je voulais : la stature, la silhouette, la classe. Elle était si belle et en même temps son visage avait des reflets étrangement masculins. Je fermai les yeux un instant et tentai d’imaginer son corps nu contre le mien. J’avais envie de la caresser, de l’embrasser. Je voulais qu’elle me baise. Si elle aimait les chattes, la mienne lui était offerte. Accroupie sous la douche, j’avais recommencé à me masturber. Je me suis branlée ainsi pendant presque une heure sous l’eau froide en murmurant que j’avais envie d’elle, avant d’étouffer un petit cri de bonheur et de tomber à genoux, anéantie par un deuxième orgasme.
    
    J’ai passé le reste ...
    ... de la soirée à me masturber nue sur mon lit en feuilletant les revues. Pour la première fois, j’ai sucé mes doigts sortants de ma chatte pour goûter à mon propre jus. Je ne souviens pas combien d’orgasmes j’ai eus ni à quelle heure je me suis endormie. Je me suis réveillée le lendemain vers dix heures, vautrée au milieu de ma nouvelle collection de bouquins de cul, toute poisseuse et la vulve endolorie.
    
    Je cachai les magazines sous mon lit. Je ne voulais pas les remettre au placard car je pensais bien en avoir encore besoin le soir. Durant toute cette journée, dès que j’avais un moment de libre, je repensais aux images qui m’avaient le plus stimulée.
    
    Depuis, je me masturbe pratiquement tous les soirs, avec ou sans revue. Les garçons à la Fac sont soit des petits boutonneux à tendance batracienne, soit des machos incultes incapables eux-mêmes de comprendre ce qu’ils font dans une université. Quant aux filles, j’en connais très peu, et certainement aucune avec qui je pourrais partager mes fantasmes. D’ailleurs, je suis plutôt studieuse et réservée et je n’ai pas le contact humain très facile. Il n’est donc pas étonnant que les plaisirs solitaires me soient apparus tout naturellement comme la solution de facilité par excellence. Une soupape de sécurité, en quelque sorte, pour faire baisser la pression sans m’engager affectivement. De toute façon, je ne peux plus m’en passer.
    
    Il est difficile, pour une jeune fille bien élevée comme moi, probablement avenante et en pleine ...
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