Voici ce que je crie
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
Auteur: wilparis75, Source: xHamster
... dégâts. Moi qui ne connaissais presque rien, j’eus droit à « Tout » en l’espace d’un quart d’heure. Masturbations, cunnilingus, fellations, éjaculations, échangisme, sodomie, triolisme, double-pénétrations, fétichismes de tous poils, sado-masochisme, orgies et gang-bangs, bi ou homo-sexualité… La totale. J’ouvrais un des petits livrets et je restais scotchée sur une série d’images où deux filles de mon âge s’embrassaient à pleine bouche et faisaient l’amour dans un appartement moderne. Un petit texte accompagnait les photos des deux lesbiennes, retraçant leur prétendue rencontre et comment l’une avait séduit l’autre. L’idée de caresser une autre fille m’était tellement étrangère que je ne pouvais comprendre ce qui les poussait à faire ça. Pourtant, elles paraissaient vraiment y prendre du plaisir. Leurs étreintes passionnées les entraînaient dans les positions les plus érotiques. Elles étaient surtout excessivement belles. Par curiosité, je me demandai ce qu’elles devaient ressentir dans les bras l’une de l’autre. Un frisson de dégoût parcourut mon échine, mais je n’étais plus à ça près. Je me disais qu’il fallait vraiment être tarée pour vouloir mettre une langue à une autre fille. Comment réagirais-je si une femme essayait de m’embrasser ? Si elle posait sa main sur ma cuisse ? Je repoussais immédiatement l’idée d’une vulve brune s’approchant de mon visage, les lèvres roses luisantes de désir et réclamant mes attentions. J’avais besoin d’une bonne douche froide.
Je me ...
... levai pour essayer ma nouvelle salle de bain, mais me ravisai. Sous le tas de revues éparpillées apparaissait le boîtier caractéristique d’un DVD. Or, je venais d’acquérir (merci, chers parents) un ordinateur portable tout neuf pour mes études, équipé d’un lecteur DVD dernier cri. L’ordinateur trônait sur le bureau, le disque gisait sur le lit couvert de pornographie. Mon regard oscilla trois fois de l’un à l’autre, puis, d’un geste, j’attrapai le boîtier et j’allai allumer la machine.
Après une attente interminable, le générique s’activa enfin. Par ce chaud après-midi de début septembre, j’avais laissé les stores baissés et il régnait dans la pièce une pénombre et une moiteur enivrantes. Je portais une petite robe d’été vert pâle qui collait à ma peau. Après avoir verrouillé la porte, je m’assis devant l’écran et le film commença.
Une femme d’une trentaine d’années, blonde et vêtue uniquement d’une nuisette et d’un string de dentelle blanche est alanguie dans un large fauteuil de cuir noir. Elle se caresse sensuellement, laissant papillonner ses ongles sur les liserés d’étoffe transparente. Les pointes de ses seins, tendues, transparaissent sous la soie blanche. Elle écarte l’élastique de son string pour faire glisser son majeur le long de sa fente.
Une autre femme entre. Elle est brune et porte un tailleur noir. Un bref dialogue sans queue ni tête nous informe que la brune a apporté les godes dont elle avait parlé à la blonde. Bien sûr, la blonde veut les essayer. ...