1. Voici ce que je crie


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: wilparis75, Source: xHamster

    ... tard, nous sommes allés à une soirée et je l’ai surpris en train de glousser avec ses amis alors que ceux-ci me lorgnaient du coin de l’œil. Je n’ose imaginer de quoi il s’est vanté. Je n’oublierai jamais cette soirée. Bien que je n’aie pu percevoir clairement aucune syllabe de la fatidique conversation, je crois que toute ma vie je subirai ces attaques d’angoisse où, terrorisée dans mon lit, j’entendrai leurs voix marteler les descriptions de mes prouesses, implacablement sublimées par ma paranoïa galopante : « Elle taille des pipes et elle aime ça, tu sais ? Sous ses airs de Sainte-Nitouche elle te suce comme une damnée, j’te jure. Une belle gueule à jus. J’l’ai forcée à avaler, et elle adore le sperme, la pute. Elle a le feu au cul, cette salope, mais elle trop coincée pour l’admettre, alors elle aime bien qu’on la domine. Ça l’excite… »
    
    Après cet épisode, rien ne fut plus jamais comme avant. Je réalisais progressivement que j’étais tombée sur un fieffé séducteur, qui avait usé de sa physionomie pour grand magazine comme d’un sésame pour piller ma caverne de son trésor. Et puis, il y avait aussi cette fille sur laquelle il louchait constamment depuis plusieurs semaines. C’était le moment d’avoir de bons réflexes. Quelques jours plus tard, je lui annonçai que je le quittais définitivement. La lente descente aux enfers qu’il me promettait était un supplice dont je pouvais agréablement me passer.
    
    À la rentrée suivante, je suis partie à Toulouse pour entrer à la Fac. ...
    ... J’avais dix-neuf ans. Mes parents m’avaient loué un petit studio à l’écart du centre-ville et je venais de m’y installer en attendant que les cours commencent. L’appartement était exigu et n’avait qu’un placard. Par contre, une trappe dans le plafond du vestibule permettait d’accéder à un entresol haut d’une cinquantaine de centimètres, qui faisait office de débarras. Avant d’y entreposer mes valises vides, je montai sur un escabeau pour vérifier que l’entresol était exempt de moisissures et autres vermines. Équipée d’une lampe de poche, je constatai que le lieu était sain et aussi qu’on y avait oublié un grand sac plastique contenant une pile de papiers. Je redescendis de l’escabeau et posai le sac sur mon lit. Après avoir rangé mes valises et refermé la trappe, je décidai d’examiner son contenu. Le sac recelait manifestement une pile de revues et peut-être quelques livres. Je le déroulai lentement et je déversai les revues sur mon lit. Je ne sais pas pourquoi, mais je m’y attendais. Je le souhaitais presque. Trois semaines depuis ma dernière rupture, deux jours avant le stress de la rentrée, j’avais les nerfs à vif et je m’étais prise à transpirer dès que j’avais découvert le sac. J’en avais entendu parler, bien sûr, mais je n’en avais encore jamais vu.
    
    La première photo sur laquelle je posai les yeux représentait le visage d’une fille superbe en train de sucer un gros godemiché blanc. Les yeux hagards, outrée, j’étalai fébrilement les revues pour constater l’ampleur des ...
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