Petite mousse
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
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init,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... nerfs, alors qu’elle, immensément satisfaite de l’étape franchie, et curieuse de la suite, s’abandonnait à la sensation, une sensation inconnue, différente, dense, profonde, étrangère, celle d’une intrusion intolérable mais pourtant acceptée, maintenant bien plus agréable que pénible.
Sophie se sentit heureuse… heureuse de n’avoir pas renoncé, heureuse de ne pas s’être trompée.
Il commença un va-et-vient dans sa croupe, accroissant progressivement son rythme, lui arrachant de petits soupirs, ambigus, à l’image de ses sensations.
Une chaleur, une onde qui se propagea, remontant des muscles enserrant le membre, s’étendit puis rebondit de son bas-ventre au contact du gilet de sauvetage qui lui servait de coussin… En plus d’accomplir son devoir, allait-elle, aussi, trouver le plaisir ?
Avec au début de la prudence, elle amplifia son mouvement pour prolonger la sensation, son pubis glissant vers le haut, avant de revenir vers le bas chercher au plus profond le frottement qui envoyait l’onde irrésistible, qui à chaque fois commençait à lui arracher des jappements de surprise et de plaisir.
Egoïstement, elle se concentrait sur ces sensations nouvelles pour elle, toute peine oubliée, mise à l’écart par la montée de la jouissance. Son partenaire restait silencieux, bougeant peu, attentif à ses réactions.
Très vite ses fesses palpitèrent, ses hanches gagnèrent une vie propre… tantôt pressant son sexe sur la table, tantôt se rejetant en arrière, le pressant pour ...
... s’empaler plus. Une goutte de sa sueur se mêla à la sienne, coula le long de sa cuisse.
Le Capitaine l’accompagna, instrument de la montée de son plaisir, respectant le rythme qu’elle imposait.
Puis d’un coup, passant son bras son ventre, il reprit le contrôle, cette fois parvenant au plus profond d’elle-même, une ultime poussée la rivant littéralement à la table, la peau de son ventre protégée seulement par le gilet de sauvetage.
Sophie jouit, dans une fulgurance de sensations, émettant un long râle rauque… Les pulsations de son orgasme autour du membre vibrant qui la possédait semblant ne jamais finir, revenant, et revenant encore, toute volonté annihilée par l’abandon à ses sens, alors que sa conscience se concentrait sur ces quelques secondes éternelles qui justifiaient tout le reste.
Alors qu’elle était anéantie, seul le Capitaine l’empêchant de glisser à terre, celui-ci reprit son mouvement, lentement d’abord, puis à nouveau plus fort.
Sophie voulait la jouissance de son Capitaine. Sans broncher, elle accepta lorsque ses mouvements devinrent brefs, secs, de plus en plus forts, puis lorsqu’il se retira à moitié avant de revenir à fond, à chaque fois, la ramenant à la douleur, une douleur vive mais consentie qu’elle accueillit, que seules les saccades de son souffle trahissaient.
Lorsqu’il accéléra, encore égoïstement soumis à la montée de son plaisir, et augmenta encore la violence et la sécheresse de ses poussées, son souffle se transforma en plaintes, qui ...