Petite mousse
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
bateau,
fsoumise,
hdomine,
fsodo,
init,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... côté puis de l’autre. Au dernier, elle retint l’étoffe deux ou trois secondes, sachant ce qui allait arriver. Puis elle la lâcha. Instantanément, le pantalon tomba à ses genoux, révélant sa nudité.
Le Capitaine resta silencieux, immobile pendant quelques secondes. Puis il prit un gilet de sauvetage sur un banc, le plaça sur le bord de la table.
— Penchez-vous.
Elle obéit, empoignant les côtés de la table avec fermeté, son ventre et le haut de ses cuisses contre le gilet. Elle ferma les yeux. La peur, et surtout la honte étaient revenues, elle avait terriblement conscience de l’impudicité de son attitude, de ses vêtements repoussés et ne cachant plus grand chose, lui livrant l’objet de son désir.
Il caressa l’arrière de ses jambes, d’abord de haut en bas, repoussant ses vêtements vers ses chevilles, puis de bas en haut, une par une, puis pesa de sa main sur l’intérieur d’une de ses cuisses, l’écartant.
Il s’approcha, sans se soucier de piétiner ses vêtements distendus. Puis vint le contact froid d’un liquide qui coula sur sa peau, que ses doigts guidèrent avec soin et douceur.
Il se pencha sur elle, elle sentit un autre contact, celui de sa main qui le guidait vers son but, la pression provoquant une crispation réflexe.
Il lui murmura de compter jusqu’à trois.
Toujours tendue à l’extrême, Sophie se dit qu’il lui suffisait de rester silencieuse… Il comprendrait et renoncerait.
Mais non.
Elle dit un.
La pression de sa main augmenta, pouce et ...
... index l’écartant fermement. Sa crainte, sa honte s’évanouirent tout d’un coup, la sérénité l’envahit ; elle savait maintenant l’acte dont elle avait rêvé inéluctable, ne tenant plus qu’à deux petits mots à murmurer – et elle savait qu’elle les dirait, sans défaillir.
Elle dit deux. Il pesa sur elle, lui arrachant un soupir, lui infligea juste assez de douleur pour que la suite vienne sans surprise, s’arrêtant aussitôt.
Elle dit trois.
Il appuya fermement. Elle le sentit distendre ses muscles, franchir l’obstacle dans une fulgurance de douleur. Réfrénant un cri, elle exhala longuement pour la contrôler. Doucement, lui caressant les cheveux, le visage, il lui murmura que le plus difficile était fait, qu’il lui fallait maintenant attendre un peu, se détendre, pleinement l’accepter.
Il resta longuement immobile. Il était toujours là, terriblement présent, l’épieu de chair planté au plus étroit la rivant à la table, mais Sophie sentait la douleur refluer progressivement.
Retirant sa main dont le guidage n’était plus utile, il l’empoigna par les hanches, et finit de s’enfoncer, lentement. Malgré la peine revenue, heureusement pas aussi vive, elle l’aida en se cambrant, l’amenant au plus profond. Le tremblement de son corps était plus violent que jamais… Enfin ! Il pesait de tout son poids, la plénitude de sa chaleur et sa force entièrement en elle, la pression de son ventre sur sa peau.
Il commença à bouger, lentement, rajustant son angle pour atteindre d’autres ...