La grosse surprise de Mme Stroke (5) - Histoires de Sexe

La grosse surprise de Mme Stroke (5)

... enlève ses talons et vient me rejoindre. Elle saisit le pommeau, ouvre le robinet et laisse venir une eau tiède qu’elle fait ruisseler sur mon corps depuis ma tête. Après avoir déposé une noix de gel douche dans sa main, elle lave d’abord mes cheveux, puis mon dos et mon buste. Je me laisse aller, massé pas ses mains qui savent mêler fermeté et douceur, tout en me délectant du spectacle hypnotisant de ses muscles qui dansent sous sa peau brune et de ses seins qui se dandinent sous mes yeux. Elle ajoute un peu de gel dans ses mains quand elle entreprend de nettoyer mes petites fesses. Elle ne feint pas son plaisir de pouvoir les pétrir dans ses grosses mains et de pouvoir caresser ma rondelle qui a presque repris une forme normale, ce dont elle se félicite.

— C’est bien. Tu es suffisamment souple pour te remettre facilement. Ce n’est pas rare qu’il y en ait qui saignent après leur dépucelage, surtout quand c’est moi qui m’en occupe.

Elle fait ensuite glisser ma main sur mon entrejambe qui la laisse beaucoup plus indifférente, puis s’accroupit pour savonner mes jambes.

— Tu as de vraies jambes de gazelle ! On ne te l’a jamais dit ?

— Non, juste que j’étais trop maigre.

— Tu es parfaite ! Tu as un magnifique petit corps de soumise. Tu vas être si facile à habiller !

Elle vient de s’adresser à moi au féminin, en me qualifiant de “soumise” d’autant plus ! A ma grande surprise, je sens des papillons dans mon ventre d’être traité ainsi.

— C’est à ton tour de me ...

... laver !

Je verse directement le gel sur les larges épaules de mme Stroke, puis l’étale sur sa poitrine qui devient luisante. Je descends ensuite sur ses abdominaux qui me fascinent tant ils sont bien dessinés. Je procède de la même manière dans son dos en palpant d’abord ses trapèzes, puis ses omoplates et ses reins. Mes petites mains se perdent ensuite sur son large fessier, à la fois dur et doux. Je laisse glisser ma main dans sa raie, descendant jusqu’à son anus, et je la sens vibrer, trahie par le mouvement de ses muscles sous sa peau. Toujours derrière son dos, je laisse ma main glisser entre ses jambes pour aller savonner ses testicules. Elle ne s’attendait pas à autant d’audace, mais apprécie mon initiative.

— Tu es un petit coquin ! Tous les petits hommes blancs sont pareils. Ils crèvent tous d’envie de toucher des grosses couilles noires.

Je prends effectivement un grand plaisir à malaxer ses boules qui ne tiennent même pas dans ma main. Je me déplace pour lui faire face et me rends compte que mes massages lui ont déjà provoqué un début d’érection. L’anaconda qui pendait quelques secondes auparavant est maintenant décalotté et horizontal. Je verse à nouveau une noix de gel douche dans mes mains et commence à astiquer ce chibre, qui se dresse, grossit, et brille comme un obélix d’obsidienne sous la lumière artificielle de la salle de bain. Je me mets à genoux et saisis le monstre de mes deux mains. Je le masturbe de plus en plus rapidement, et avec de plus en ...