La grosse surprise de Mme Stroke (5) - Histoires de Sexe

La grosse surprise de Mme Stroke (5)

Je tente de m’asseoir sur le plan de travail mais j’ai été si malmené par l’amazone que j’ai du mal à me redresser. La géante place gentiment une main derrière mon dos pour me soulager. Une fois assis, ce sont mes fesses meurtris qui me font mal et mes organes compressés par le vérin de l’amazone reprennent leur place en expulsant encore plus de sperme de mon anus. Je me sens sale et épuisé, mais en même temps tellement heureux d’avoir été traité de cette manière et d’avoir découvert un plaisir aussi intense. Sasha me caresse le dos et couvre ma joue de petits baisers. Elle pose doucement ses doigts sur mon visage pour me faire comprendre qu’elle veut m’embrasser. Je lui offre à nouveau ma bouche et laisse sa langue jouer avec la mienne. Elle met fin doucement à notre baiser, mais laisse sa main sur ma joue. Elle me regarde avec une douceur qui contraste avec ce corps puissant.

— Je sais ce qui se passe en toi. Tu es arrivé ce matin en petit coq viril, et tu te retrouves deux heures plus tard, baisé comme une chienne dans la cuisine. Tu pourrais te sentir mal mais ton regard dit le contraire. Tu savais de toutes façons depuis la première fois que tu m’as vu ce que j’étais. La forme de mon visage, ma grande taille et mes mains de bûcheron, ton conscient n’a pas voulu l’admettre, d’autant plus que tu étais très jeune à l’époque, mais ton inconscient l’a intégré et a toujours voulu que ça se passe de cette manière. Je t’ai largement laissé le choix d’ailleurs ?

J’ai ...

... presque les larmes aux yeux tellement ce que je ressens est violent. Elle a totalement raison. J’avais beau jouer les casanova, mes relations avec les filles du village ne m’ont jamais satisfait.

— Non, j’aurais pu m’enfuir milles fois, mais je n’en ai pas éprouvé le besoin. Je voulais vous sentir en moi si fort !

Elle caresse doucement ma joue en me souriant tendrement, puis efface une larme qui commençait à perler au coin de mon oeil.

— C’est bien. Tu sens ce vide au fond de toi qui commence à se combler ?

— Oui. C’est bizarre, je me sens si bien avec vous.

— Et tu te sentiras encore mieux après une bonne toilette !

La géante d’ébène passe un bras sous mes genoux puis un autre sous mon dos et me soulève précautionneusement contre elle. J’ai l’impression d’être une pomme de terre que l’on a voulu faire frire tant je suis enrobé d’huile d’olive ! Heureusement qu’elle me tient fermement car je pourrais glisser dans ses mains comme un petit poisson. Elle est toujours sur ses talons, mais ça ne l’a gêne aucunement pour me porter jusqu’à la salle de bain. Elle gravit les escaliers jusqu’à l’étage comme si je n’étais pas plus lourd qu’un sac de linge sale, et n’est même pas essoufflée en arrivant dans l’immense salle de bain pavée de marbre. Tout est à la fois si luxueux et si sobre dans cette maison. Ma maîtresse a vraiment des goûts très sûres. Elle me dépose doucement sur mes pieds dans la douche à l’italienne qui est presque aussi grande que ma chambre !

Elle ...