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Souvenirs de vacances et plus... 3. Dressage.
Datte: 20/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
... de douleur. J’avais d’abord serré les dents mais il est arrivé un moment ou je n’ai plus pu me retenir. J’avais chaud de partout, pas seulement où les coups de cravache avaient zébré ma peau, je transpirais sous la cagoule et je sentais que ma cyprine suintais de ma chatte mouillant le fond de mon tanga. Aussi brutalement qu’elle avait commencé, la fustigation cessa. Le grand noir avec le pagne m’a détachée. C’est lui qui m’avait fouetté car la cravache était passée dans sa ceinture : - Debout chienne, tu n’as pas encore fini avec moi ! Et il m’a entraînée vers une des croix de Saint André où il m’a attachée face à la salle après m’avoir pratiquement arraché mes sous-vêtements tant il a été vif et brutal dans ses gestes... Je restai ainsi exposée à la vue de tous pendant de longues minutes au cours desquelles, hommes ou femmes sont venus me triturer les pointes des seins, les palper ainsi que la fourche de mes cuisses où ils enfonçaient brutalement plusieurs doigts ou des godes de forte taille. J’étais pour l’instant leur jouet sexuel, livré en pâture à leurs sévices. Maitresse Simone, qui jusqu’à présent avait été occupée avec deux autres femmes plus âgées que moi, s’est approchée en me disant d’une voix mielleuse : - Ma belle, ce soir tu vas savoir ce qu’est la souffrance avant de connaitre le plaisir de te faire bien baiser. Je suis sure que tu vas apprécier. Elle m’a détachée et m’a conduite vers une sorte de tréteau allongé où je dus me coucher sur ...
... le dos. Le grand noir avec le boubou et la soubrette m’ont attachée, les bras relevés de part et d’autre de la tête. Les liens de cuir ont été placés sur des tambours où en s’enroulant, ils étiraient mes jambes et mes bras. J’étais littéralement écartelée, la fourche de mes cuisses offerte à la vue de tous. Au fur et à mesure de la tension des liens, la douleur de l’élongation commençait à s’accentuer. Mes articulations devenaient douloureuses. Puis la tension s’est arrêtée mais l’étirement de mon corps a persisté quelques temps avant d’être relâchée légèrement. Le supplice continuait : Le grand noir et la soubrette rivalisaient pour m’appliquer des claques et des pincements aux endroits les plus sensibles et au niveau des articulations des bras et des jambes. Je ne pouvais absolument pas m’y soustraire ni même crier ma douleur car avant de commencer ils avaient placé une poire d’angoisse dans ma bouche. Puis ils m’abandonnèrent, exposée au vu de tous. Un couple s’est approché de moi. L’homme, très grand et très mince, m’a retiré la poire d’angoisse et a glissé une bite imposante à moitié bandée dans ma bouche. Je savais ce qu’il attendait de moi : que je le suce… J’avais de la peine à la faire entrer dans ma bouche tant elle était gigantesque. La femme, une grande blonde d’une quarantaine d’années à la poitrine menue et aux hanches étroites s’est mise à genoux dans la fourche de mes jambes et a débuté un cunnilingus très appuyé, Elle a fait coulisser plusieurs ...