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Souvenirs de vacances et plus... 3. Dressage.
Datte: 20/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
Ce soir-là, bien des semaines après ma première visite au Moulin de Maîtresse Simone, je vais y retourner. Elle m’a appelé en début de semaine pour m’ordonner de venir le samedi à 22 heures précises. Elle voulait poursuivre avec moi la découverte de la domination. J’avais connu une première initiation à la domination soft au cours de laquelle j’avais été fessée et fouettée, j’avais eu les seins étirés et le ventre rempli d’un lavement à l’eau tiède et pour finir, j’avais fait l’amour avec une femme que le sort avait désignée au cours d’un jeu de « Colin-maillard » érotique. J’étais retournée plusieurs fois au Moulin pour achever mon dressage… Dès que j’ai sonné à la porte d’entrée, j’ai été accueillie par le même colosse noir que les fois précédentes. Il m’a conduit aussitôt dans la grande pièce de l’étage où la plupart des séances de domination semblaient avoir lieu. Je retrouvai le même décor mais il avait été complété par deux balançoires dont les nacelles en cuir étaient percées de deux orifices (je découvrirais pourquoi au cours de la soirée) et d’une curieuse machine accolée à un lit bas. Il y a déjà plusieurs couples qui sont occupés à divers sévices. Les deux croix de Saint André étaient utilisées : une femme et un homme y étaient attachés, un bâillon sur la bouche. La femme tournait le dos à la salle et je pus voir qu’elle avait été copieusement fustigée tant le haut de ses cuisses, ses fesses et son dos étaient striés de balafres rouges dues à la ...
... cravache qu’appliquait avec la rigueur d’un métronome un autre colosse noir uniquement vêtu d’un pagne coloré. L’homme était lui aussi bâillonné et il avait les yeux bandés. Les tétons de ses seins étaient pris dans des pinces et ses couilles étaient passées dans un lacet avec un poids à l’extrémité. Il m’a semblé en pénitence ! Le noir qui m’a accueilli me tenait fermement par le bras gauche et il me guidait vers le chevalet où j’avais déjà été attachée lors de ma première visite. Il m’a fait quitter ma cape sous laquelle je portais uniquement un tanga en dentelle noire et un soutien gorge assorti, mes escarpins et mes bas. C’était d’ailleurs la tenue de toutes les femmes… Il m’a attachée à plat ventre et m’a mis une cagoule en satin sur la tête mais pas de pinces ni de poids à mes seins. J’entendais tout ce qui se passait mais j’étais totalement aveugle. Je percevais le claquement des cravaches et des fouets, les grognements de douleur des uns et des autres. La séance était bien lancée par les acolytes de Maîtresse Simone mais personne ne s’occupait de moi… Je perdis la notion du temps. Soudain, un coup de cravache m’a cinglé le haut des cuisses, puis un autre sur les fesses, puis encore un autre au creux des reins. Ils n’étaient pas trop appuyés mais la surprise m’a fait sursauter. Et çà continuait, toujours au même rythme mais de plus en plus appuyés. Si au début, je comptais les coups, je perdis vite la notion du nombre surtout quand à chaque fois je criais ...