1. Les jeux télé doivent être utilisés avec modération.


    Datte: 19/03/2021, Catégories: fh, couplus, extraoffre, inconnu, cinéma, collection, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu, pastiche, Humour aventure, Auteur: Aline Issiée, Source: Revebebe

    ... même si elle me suce à faire fondre l’Himalaya, même si elle me pompe le dard comme une déesse, quand je la prendrai en levrette…
    — Mais c’est horrible pour moi, Ben ! Pendant ce temps-là, si je comprends bien, je suis en dehors, à regarder l’écran de contrôle, à t’entendre baiser dans la cellule avec une autre, et il faut que je te demande de te retenir ?
    — Oui, jusqu’à ce que la clepsydre qui rythme les épreuves arrive au bout, alors, tu dois me crier de sortir… De tout, comprends-tu : de la fille et de la cellule. Mais tu peux me faire confiance : je resterai peut-être jusqu’à la dernière seconde, mais je me serais retenu. Quand je sortirai, j’aurai peut-être la queue dressée jusqu’à la lune et mouillée de cyprine, mais je n’aurais pas déchargé…
    — Comment auras-tu fait ?
    — J’aurais pensé à toi, mon petit chaton, et à ce qui t’attend dans la seconde cellule. Parce que ce sera ton tour ensuite !
    — Qu’est-ce qui m’arrivera ?
    — Eh bien, une épreuve particulièrement difficile et en même temps, qui devrait t’ôter toute envie d’envisager même de me quitter…
    
    Pendant toute cette conversation, je ne quittais pas des yeux le visage si particulier de Ben, qui a les pommettes saillantes, des paupières lourdes sur un regard vert… Je devais l’avouer : le jeu d’imaginerFort Couillard était particulièrement excitant. Je sentais comme des frissons dans mon dos, à l’idée que cela pourrait vraiment exister. Je m’y voyais presque, quoi, toute tremblante devant la porte qui allait ...
    ... s’ouvrir sur l’inconnu…
    
    — Non, me dit alors Ben, pas l’inconnu, Ludivine. Les inconnus… Tu te vois, entrée dans la cellule ? Les assistantes commencent par te désaper, et puis elles t’attachent les poignets par une chaîne, qu’elles passent dans un anneau scellé au plafond, et puis elles t’écartent les chevilles et les fixent elles aussi : te voilà écartelée, au milieu de la pièce, sans aucune défense… Et, touche finale, tu as les yeux bandés et tu dois rester ainsi, sans savoir ce qui va t’arriver. Qu’en penses-tu ?
    — C’est trop cruel, je n’ai pas mérité ça Ben, mon Ben, mon amour ! Je crois que je t’appelle, que je crie ton nom…
    — Va, ne t’en fais pas ma Ludivine, ce ne sera pas un jeu aussi cruel que cela. Certes, quatre hommes masqués vont entrer, et certes, tu ne pourras pas les empêcher de te toucher là où ils le veulent. Spécialement, évidemment, ton si joli petit entrejambe, sous ta fine toison, là où ton bouton d’amour se dresse, tiens un peu comme maintenant sous mes doigts… Mais aussi ton con, ils seront parfois deux ou trois à y tremper les doigts, pendant que l’un prendra ta bouche et y fourrera sa langue, que l’autre te tripotera le bout des nichons, que le troisième, derrière toi (et tu auras beau bouger et gigoter sous la chaîne, tu n’y pourras rien), t’écartera les fesses en les pétrissant… Tu ne pourras plus m’appeler, parce que tu auras toujours la bouche pleine, soit avec une langue, soit avec autre chose : godemichets, ou bien la bite d’un des mecs qui ...