Vente d'esclave aux enchères
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Quintessence2017, Source: Hds
... dois leur donner envie de t’acheter. » Puis, il me pose le collier. Ce collier que, désormais, je ne quitterai plus. Cette simple lanière de cuir, ornée d’un anneau sur le devant, qui est pourtant si lourde de symbolique. Mon corps est huilé, pour le rendre plus attractif, selon les dires de Monsieur.
La porte s’ouvre, j’entre. Dans un salon meublé avec faste, six hommes sont assis en cercle dans des fauteuils de créateur. Ils ont tous entre trente et quarante ans, et sont là pour la même chose : acheter ce jeune homme qui a subi des mois de dressage intensif dans le seul but de les satisfaire.
D’un pas décidé, je m’agenouille au milieu du cercle, en position de soumission. La scène doit avoir quelque chose de surréaliste, vu de l’extérieur. Le contraste est frappant : ces hommes sont confortablement assis, je suis à genoux, le dos bien cambré pour faire ressortir mes fesses, ils sont vêtus, je suis nu, ils ont des bagues aux doigts, j’ai un collier de cuir et une cage de chasteté. Ils sont libres, je suis esclave.
Les commentaires commencent. Les acheteurs discutent entre eux. L’un d’eux se lève et sort. Il me pensait plus efféminé. Monsieur le rattrape dehors, je ne sais pas ce qu’il lui dit, mais il parvient à le convaincre de rester. L’Homme se rassoit.
Monsieur me présente avec force superlatifs, je ne l’ai jamais entendu me complimenter autant. C’est aussi un vendeur. Il vante les mérites de sa « nouvelle méthode révolutionnaire », apparemment, je serais le ...
... premier esclave dont il complète le dressage par des séances d’hypnose.
Le résultat serait, selon ses dires, bluffant. Je suis entièrement formaté à la servitude, et l’on peut faire de moi ce que l’on veut.
Les acheteurs l’applaudissent.
Puis, Monsieur les invite à « toucher l’article ». Alors, comme un seul homme, les acheteurs se lèvent et m’entourent. Bientôt, mon corps est couvert de douze mains baladeuses. L’une me pince le sein, l’autre me palpe les fesses, une autre encore soupèse ma cage de chasteté et son contenu. Un doigt s’aventure à l’orée de mon anus et un autre, plus téméraire, envahit ma bouche jusqu’à pénétrer dans ma gorge, avant d’étaler la salive qui le recouvre sur mes lèvres.
Voilà deux semaines que je n’ai pas été libéré de ma cage, et ces assauts me font tressaillir, mais je dois rester stoïque, car il en va de l’honneur de Monsieur.
La palpation s’éternise, puis, Monsieur invite les acheteurs à retourner s’asseoir. Il m’ordonne d’aller immédiatement en cuisine chercher de quoi désaltérer les invités. On me sonnera lorsque je pourrai revenir. Je sais que c’est un prétexte pour les laisser discuter et poser leurs questions à Monsieur. J’obéis.
Arrivé en cuisine, je prépare un plateau avec sept flûtes de champagne, puis m’installe en position de soumission sur le sol, devant le plan de travail.
Après dix longues minutes, la sonnette retentit. Je me lève illico, et retourne au salon avec le plateau, que je présente tour à tour à chaque ...