1. Vente d'esclave aux enchères


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Aujourd’hui, c’est le grand jour. Le jour des enchères. Voilà des mois que ma décision est prise : la décision la plus importante de ma vie, celle de devenir un esclave à part entière.
    
    Ces derniers mois ont été bien remplis. Au moment où ma décision a été prise et que j’ai contacté celui que je devais dès lors appeler « Monsieur », mon dresseur, mon éducation a commencé. Mon destin était fixé.
    
    L’éducation fut progressive. Au départ, je pouvais garder mes vêtements. Puis, je devais me dénuder. Enfin, je devais être nu avant de passer la porte de chez Monsieur. Il fallait m’habituer à la nudité, car elle sera désormais mon uniforme de travail et ma tenue de tous les jours.
    
    Puis, il a fallu m’apprendre les postures d’esclave. À genoux ! Croise les bras dans le dos ! Le menton bien haut ! Les ordres de Monsieur ont résonné dans ma tête, et résonnent encore, comme un ordre inscrit dans ma mémoire. Ancré au plus profond de moi, pour ne plus avoir besoin d’être prononcé. Un automatisme viscéral.
    
    L’étape suivante était la plus cruciale. Celle de l’abandon. Monsieur voulait m’apprendre l’Abnégation. Avec un grand A. Celle qui fait d’un esclave un bon esclave, bien docile. Le secret n’est pas d’inculquer l’obéissance, disait Monsieur. Le secret, c’est de pousser l’esclave à trouver son propre plaisir dans l’obéissance. « Si tu obéis par contrainte, tu failliras. Mais si tu trouves ton bonheur dans la satisfaction de ton ...
    ... Maître, tu ne le décevras jamais. »
    
    « Ton Maître », ces mots résonnent comme une promesse que me fait Monsieur. La seule promesse, la seule contrepartie. Je m’abandonne tout entier, et en échange, Monsieur me promet de me trouver un Maître.
    
    L’argent de la vente lui revient jusqu’au dernier centime. C’est son salaire pour m’avoir dressé, ou plutôt son gain pour avoir misé sur moi comme bon esclave, digne d’être acquis.
    
    « Oublie ton sexe. » m’a-t-il lancé un jour. « Le plaisir de la queue, c’est le plaisir égoïste. Toi, tu dois connaitre le plaisir du réceptacle. Le plaisir dans la satisfaction de la queue de ton Maître. » À compter de jour-là, il m’a posé une cage de chasteté. « Oublie ton sexe. » a-t-il répété, comme un mantra, « Il n’y a que celui ton Maître qui compte. Si tu comprends cela, tu réussiras. »
    
    C’est à ce moment-là qu’ont commencé les séances d’hypnose. Une simple vidéo, avec une spirale et des extraits de vidéos pornographiques. Et cette voix entêtante, qui répète encore et encore des maximes sur la servitude : « Vénère ton Maître. », « Son plaisir fait ton bonheur. », « Tant que sa queue est satisfaite, tu es satisfait. » Tous les jours. Encore et encore et encore. Jusqu’à ce que ça rentre. Jusqu’à ce que j’intègre ces maximes comme faisant partie de moi-même.
    
    Vous seriez surpris de voir vers quels sommets de docilité peut pousser la chasteté, le manque sexuel. Après quelques semaines, le moindre acte prend une dimension sexuelle extrême. Monsieur ...
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