Un homme de ménage pour Madame
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
poilu(e)s,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
odeurs,
Oral
nopéné,
sm,
conte,
Auteur: AuxpiedsdeMaîtresse, Source: Revebebe
... m’expliqua qu’elle cherchait une « sorte de domestique », très docile, capable de la servir sans discuter, et acceptant d’être corrigé comme une « petite bonne » s’il en était besoin. J’appris aussi que je ne serai pas rémunéré car elle me considérerait « en apprentissage », et que cet apprentissage et l’honneur de servir une dame de sa qualité valaient rémunération. Je compris alors pourquoi la place était toujours libre, plus d’une semaine après que l’annonce soit parue…
J’appris alors que ma future patronne, Marie-France, était issue d’une famille bourgeoise, qu’elle était mariée avec un vieux monsieur très riche, mais qui ne s’intéressait plus qu’à sa collection de livres, et qui de toute façon vivait sa propre vie avec sa petite bonne – lui aussi – dans son appartement des beaux quartiers parisiens. Le couple ne se voyait qu’une fois par an, lorsque leurs deux filles rentraient des États-Unis où elles occupaient des postes importants dans des banques d’affaires.
Au fil de la communication, qui dura plus d’une heure, ma future patronne me précisa que si je devais remplacer Martine, sa petite bonne, c’est que cette dernière venait de se faire engrosser par un ami de son mari, lequel avait cédé aux avances d’une fille ayant trouvé là le moyen de se faire épouser par un homme beaucoup plus vieux qu’elle, mais suffisamment aisé pour lui donner une toute autre position sociale. Elle me fit également comprendre que je devrais remplir d’autres services que le ménage et ...
... le repassage, services que cette fille assurait parfaitement, et qu’il me faudrait aussi assumer sans discuter. Au terme de cette longue conversation, elle me demanda si j’étais prêt à la servir comme elle l’entendait, avec dévouement et en toute discrétion. Je m’y engageai, et elle me donna un rendez-vous pour le lendemain vendredi, en me signalant que ce n’était pas la peine d’amener du linge, que j’en trouverai sur place dans la chambre de bonne qui me serait réservée.
À l’heure dite le lendemain, j’étais devant la porte de ma patronne, les mains un peu moites, au pied d’une maison bourgeoise du XIXe siècle, bâtie dans le centre-ville d’Angers. Lorsque la porte s’ouvrit, je me trouvais face à une femme assez grande, très mince, presque maigre même, d’environ cinquante-cinq ans, d’allure soignée, l’air sévère. Ma patronne… Elle était vêtue avec élégance, portait des petits souliers noirs vernis, une longue et large jupe plissée bleu marine, un chemisier blanc, un rang de perles, une coiffure au carré sur des cheveux légèrement grisonnants. À travers son fin chemiser, presque transparent, on devinait un soutien-gorge blanc maintenant une toute petite poitrine. Je restais un instant à la détailler discrètement sur le pas de sa porte, ne sachant que dire. C’est elle qui me dit d’entrer sans plus tarder, certainement un peu agacée par mon attitude, et claquant ensuite la porte derrière moi pour marquer son humeur.
J’étais dans un large couloir ponctué de trois marches ...