Un homme de ménage pour Madame
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
poilu(e)s,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
odeurs,
Oral
nopéné,
sm,
conte,
Auteur: AuxpiedsdeMaîtresse, Source: Revebebe
Je regardais souvent d’un œil distrait la rubrique « Rencontres » de ce journal d’annonces, où venaient se proposer, semaine après semaine, toutes sortes de femmes plus ou moins vénales… En règle générale ces annonces n’attiraient guère mon attention tant elles laissaient percer l’insignifiance de la relation qui y était proposée. Je jetais aussi un œil, encore plus distrait, sur les autres rubriques. Cette fois l’une des annonces avait retenu mon attention bien qu’elle paraisse dans la rubrique « Emploi » :« Femme de qualité cherche homme de ménage, plus de cinquante ans, très docile, discret, pour tous services domestiques du vendredi soir au dimanche après-midi ». Suivait un numéro de téléphone qui indiquait le département voisin.
Cette annonce sortait vraiment de l’ordinaire et me renvoyait à un désir inassouvi : celui de me soumettre aux ordres d’une maîtresse-femme, d’abdiquer toute volonté et de devenir un jouet ente ses mains, qu’elle soit jeune ou plus âgée, mince ou grosse, séduisante ou quelconque. Je résistais plusieurs jours à la tentation, refusant de céder à ce désir de soumission que je savais malsain, et qui me taraudait dès que je voyais une femme autoritaire, séduisante ou surtout intelligente.
Je suivais des études en sciences sociales depuis très longtemps, pour le plaisir, et j’étais amené à côtoyer beaucoup de ces femmes. De longues études les avaient rendues très savantes, très sûres d’elles-mêmes, et peu disposées à se laisser dominer par les ...
... hommes qui les entouraient que souvent elles dominaient d’ailleurs par leur intelligence. J’étais absolument séduit par ces femmes raffinées, qu’elles soient jeunes ou plus âgées – surtout par les plus âgées –, par les femmes mâtures dont les premières rides avaient tant à raconter… Je ne me lassais pas les regarder, les unes et les autres, pendant les conférences, surtout la conférencière, et elles comprenaient bien que je les admirais pour leur savoir et l’intelligence de leurs propos. Je percevais qu’elles appréciaient cet intérêt et qu’elles m’en savaient gré. Elles ne se doutaient pas que mon regard s’attardait, aussi souvent que possible, sur leurs jambes, qu’il imaginait leurs cuisses, leur pubis, leur ventre, leurs seins, qu’il s’attardait sur le dessin de leurs lèvres. Elles ne se doutaient pas, je pense, que je m’imaginais à leurs pieds, sous la table, sous leur jupe même, mes lèvres plaquées contre leur sexe, ma langue caressant leurs lèvres mouillées de cyprine…
Mais revenons à notre annonce… Je ne pus résister plus longtemps qu’une semaine, et je téléphonai pour m’informer de la place à prendre. C’est une petite voix, douce mais assurée, qui me répondit « c’est bien moi », lorsque je demandai à parler à la personne qui avait fait passer l’annonce. J’eus alors à répondre à toute une série de questions : mes références, mais je n’en avais pas…, mon âge, ma situation sociale, mon caractère, mes aspirations, et ma motivation pour tenir cet emploi. Ma future patronne ...