Confessions coquines des copines de Cathy (2)
Datte: 18/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... d'excuse. Continue, dis-je.
Le lendemain, rebelote pour les visites. J'ai mis une robe qui dévoile mon dos nu et je ne porte pas de soutif, ça ferait vilain, ça jurerait. D'autant que mes seins se tiennent très bien. On se retrouve dans un appart avec une grande baie vitrée et je veux lui faire admirer la vue. Il est derrière moi, je sens son souffle sur ma nuque, il m'enlace, m'empaume les seins, colle sa bite dont je sens la dureté contre le bas de mon dos. Tu n'es pas là, je lui dis.
Il poursuit sa caresse de mes seins puis me relève la robe, fais glisser son slip, me caresse les fesses. Tu n'es toujours pas là, je répète.
Je suis toujours face à la baie vitrée et lui dans mon dos, tout contre moi. Je sens qu'il baisse son pantalon. La chaleur de son dard me touche la raie des fesses. Je me cambre, écarte les jambes en prenant appui sur la baie vitrée et enfin, il me pénètre. Oui, tu es là, dis-je dans un souffle. Et on baise. Sauvagement, ardemment. Pas une minute je ne pense à mon mari. Je ne pense qu'à sa queue qui me remplit magnifiquement. L'appart est vide mais on baise à même le sol. On est maintenant à poil et je me régale de son corps splendide pendant que je le chevauche. Il est dur, endurant, tout pour le satisfaire. C'est drôle mais on visite l'appart tout en ...
... baisant : le salon, la chambre, la cuisine et même la salle de bains. C'est là qu'il veut me sodomiser car mon cul l'inspire. Je prends appui sur le bord de la baignoire et me cambre. J'ai un peu mal au début car il est gros d'excitation mais ça finit par rentrer et nos peaux claquent. Je le sens de plus en plus pointu, il va jouir, je me cambre davantage et je sens son sperme gicler sur mes fesses. Je n'ai qu'un pas à faire pour aller sous la douche car l'eau n'est pas coupée. Il me rejoint, on s'embrasse, on se caresse et on se quitte un peu plus tard en se donnant rendez-vous à l'agence pour signer le contrat.
- Voilà une location qui partait sous de bons auspices...
- Eh ben non justement. Il n'a pas pris l'appart et pire, il a signé chez un concurrent, le salaud. Il m'a baisée pour que dalle. J'étais folle de rage.
- Mais c'était quand même un beau mec, ne te plains pas.
- Oui c'est vrai mais tu me connais, chez moi, les affaires sont les affaires. Bon, à toi maintenant, tu n'as rien à me raconter de croustillant ?
Je répondis par la négative, à cette question que toutes les autres copines m'avaient aussi posées après leurs confidences. Mais je reconnais que j'en prends à mon aise. Alors, peut-être qu'un de ces jours, moi aussi, je vais vous raconter des choses...