Confessions coquines des copines de Cathy (2)
Datte: 18/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... entourée d'une nuée de types. Mais l'objectif, c'était le patron et son adjoint. J'ai un peu picolé pour me donner du courage. Au bout d'un moment, je n'ai plus vu mon patron. Pffuit, disparu. Le businessman africain m'a entrainée dans une pièce à part et m'a tenu un langage auquel je ne m'attendais pas. En gros, vous êtes une femme très charmante, très séduisante, bla bla bla, mais je suis trop vieux pour vous plaire (c'est à dire me sauter). Par contre, mon vice-président Léopold aimerait bien vous tenir compagnie, mais en ma présence. Qu'en pensez-vous ?
- Et tu as répondu quoi ?
- Que voulais-tu que je dise ? J'ai dit oui. Il faut que je t'avoue que durant la soirée, ledit Léopold m'avait fait une cour assidue à laquelle je n'avais pas été insensible, l'alcool aidant. Il avait vraiment beaucoup de charme et l'idée de coucher avec lui ne me paraissait plus incongrue. Je n'avais jamais baisé avec un Noir et quelque part, c'était une curiosité pour moi. Bon, il y avait le problème de faire la pute mais j'étais en service commandé avec à la clé un avantage salarial et je ne suis pas très bien payée.
L'embêtant, c'était la présence du vieux. Bref, j'y suis allée quand même et on est entré dans une vaste chambre avec un lit immense et des miroirs partout, un vrai lupanar. Le vieux s'est assis dans un coin. Léopold m'a enlacée par derrière, a glissé les mains dans mon décolleté dorsal, m'a caressé les seins qui étaient devenus tout durs et là, j'ai craqué. Il faut dire ...
... qu'il avait attrapé ma main pour la mettre sur le devant de son pantalon et quand j'ai senti le volume à l'intérieur, j'ai senti une petite inondation envahir ma culotte. Boudiou le paquet ! Je m'y suis tellement attardée qu'il a déboutonné son pantalon et fait surgir son dard, vraiment colossal. Impossible de résister. Je ne sais pas si je te l'ai dit mais la nature m'a dotée d'un vagin assez large, ce qui fait que souvent, je ne me sens qu'incomplètement remplie. En deux mots, j'aime les grosses bites, qui sont plus rares qu'on ne le croit. Je me suis accroupie et je l'ai sucé avec voracité. Je ne me reconnaissais plus mais que c'était bon. Cinq minutes plus tard, j'étais complètement à poil sur le lit, sa tête entre mes cuisses pour un cunni de rêve. Jamais été léchée comme ça. Faut croire que les Noirs sont doués pour ça. C'est alors que j'ai vu le vieux dans le reflet d'un miroir qui se paluchait en nous regardant baiser. Cela m'a fait drôle mais j'ai pensé à mon patron et à ma prime.
- Mais as-tu pris ton plaisir au moins ?
- Franchement, oui. Léopold était un baiseur exceptionnel. Dès qu'il m'a pénétrée, j'ai oublié que j'étais en service commandé. Même la présence du vieux m'excitait, j'ai toujours été un peu exhib. Léopold avait une manière de tourner les hanches qui me rendait folle. Je me suis enroulée autour de lui pour profiter un max de sa bite qui me fouillait jusqu'au plus profond de mon intimité. On a changé plusieurs fois de position, je l'ai chevauché ...