Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick. (9)
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... agréable de le masturber, je descends son prépuce décalottant un gland violacé, je remonte ma main et recommence de plus en plus vite.
Je m’active bien dix minutes, mais n’arrive pas à le faire jouir; ce n’est pas de ma faute, il aime ce que je lui fais; seulement, il est drôlement résistant.
Je continue un peu. Il me demande de le sucer. J’ouvre très grand ma bouche pour essayer à nouveau d’avaler son sexe. J’arrive à en prendre une partie. Finalement, je préfère lui lécher la queue de haut en bas m’arrêtant un peu à son gland. Je ressens les pulsations de sa bite. Je décide de le faire jouir et le reprends en bouche au moment même de son premier crachement. Il se met à jouir tellement fort que je me fais surprendre par ce fabuleux jet.
— Tiens ! Avale ma crème ! s’exclame-t-il.
J’en avale une partie. Mais comme il éjacule en longs jets très copieux, ma bouche est de nouveau pleine de sperme avant que je ne puisse retirer son sexe. Quand j’arrive à le sortir, je reçois sur mon visage une giclée de semence épaisse et odorante, j’en ai partout. Cela me coule au bord des lèvres et dans le cou jusqu’entre les seins. Je crois étouffer. J’en avale encore avant de pouvoir recracher le reste. Je n’ai jamais vu une éjaculation pareille, aucune comparaison avec les quelques gouttes qui suintent de la queue de mon mari.
Malgré cette jouissance, il ne débande même pas !!!!!!!
Arrive le moment que je redoute, il veut me baiser; il me retourne sur le dos, et se couche ...
... sur moi; j’écarte les jambes, et il vient poser sa bite juste à l’entrée de mon vagin. Il commence à entrer un peu son gourdin. Il me fait mal, je le lui dis. Il sait qu’il a une grosse queue et pratique avec douceur. Il force un peu; heureusement que je suis très excitée. Je suis très mouillée et cela l’aide beaucoup. Il s’enfonce encore un peu et je sens son gland forcer mon vagin.
Soudain, il me retourne, se mettant sur le dos en me laissant l’initiative, j’essaie de m’introduire ce membre que je crois trop imposant pour mon fourreau. Perdant toute raison; je m’assieds sur son gourdin, m’empalant sur la verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles. Je gémis et pousse un cri de douleur, mais j’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse l’engin dévaster mes muqueuses, sentant que je ne peux même plus essayer de me retirer, trop obnubilée par ce que je suis en train d’accomplir.
Patrick donne un coup de reins pour pénétrer cette chair qui s’offre à lui et soudain je m’affale dans un cri de plaisir, empalée jusqu’à la garde sur sa phénoménale verge. Il reste sans bouger un moment, c’est bizarre comme impression, je suis remplie comme jamais et pourtant je sens le plaisir monter, à tel point que c’est moi qui commence les allers-retours. Il m’accompagne et je sens un long jet de cyprine dans mon con. Je jouis comme jamais inondant son corps...
Je l’entends rire et me mets à rire également. Il me soulève, et se retire avec douceur; presque totalement, ...