1. Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick. (9)


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... contre moi et dégrafe mon soutien-gorge. Il se retrouve face à deux superbes globes à la peau claire, surmontés de deux tétons roses dressés et durs au centre de petites aréoles. Il pose sa main câline sur l’un des globes et sa bouche sur le deuxième téton. Il suce, lèche, aspire. Il continue à sucer mon sein tandis que sa main descend et caresse mon ventre. Je gémis de plus en plus. Sa main poursuit sa descente sur ma culotte puis sur la chair nue de mes cuisses.
    
    Je me mets à le caresser et il en profite pour saisir l’une de mes mains, l’amène lentement vers son pantalon et la pose sur une énorme bosse. Je frémis, je descends la fermeture éclair, et me mets à le caresser et à prendre la mesure de son organe en le palpant ainsi que ses bourses à travers son slip. Pour m’encourager, il me suggère:
    
    — C’est bien, chérie, tu es très douée et j’adore la douceur de ta main !
    
    — J’aimerais te retirer ton slip, Patrick.
    
    — Vas-y, Stéphanie.
    
    Il retire son pantalon, je descends lentement son slip et sa queue bien tendue en jaillit se dressant fièrement devant moi. Je pousse un "Oh !" de surprise tout en regardant fixement son fier attribut, retire complètement son slip.
    
    — Tu sais, c’est la deuxième queue que je découvre dans ma vie. Avant, je n’avais vu que celle de mon mari. Mais ta queue est nettement plus... fabuleuse !
    
    J’attrape le beau membre en érection, j’ai mon visage tout près de l’énorme braquemart. Je l’observe, le caresse, le branle doucement. Ma main ...
    ... n’en fait pas le tour tellement il est gros, mes deux mains ne le couvrent pas sur toute la longueur. C’est impressionnant.
    
    J’apprécie la beauté du membre en érection, la lourdeur du sexe raidi, soupesant les grosses boules, le branlant avec douceur. Je serre très fort le long tuyau de chair, lui donnant plus de fermeté, c’est un vrai bout de bois comparé à celle de mon mari qui bande mou. La tête sur son épaule, je regarde le monstre que je tiens en main, mes yeux écarquillés fixent le gros gland dilaté.
    
    Je regarde sa queue comme on regarde une glace délicieuse qu’on s’apprête à déguster. Ma gourmandise est visible, l’envie est patente. J’approche ma tête de son engin et passe ma langue tout doucement autour du gland; lui lèche la hampe en lui malaxant les couilles. J’ai oublié ma réserve et m’active. Je l’astique, en fais le tour avec ma langue, dirige le gland vers ma bouche et l’introduis doucement.
    
    — Ça ne rentrera pas, me dis-je. Impossible.
    
    Je le ressors, y retourne, le ressors, le branle. Enfin, j’ai le gland dans la bouche. Je me gave de bonheur, essayant de le faire entrer au plus profond dans ma gorge tout en masturbant le reste de sa verge, mais l’engin est si gros qu’il ne peut aller bien loin, occupant pleinement ma bouche offerte qui bave généreusement... Je le branle de plus en plus vite pendant qu’il met sa main sur mon clitoris et le caresse tellement bien qu’il me fait jouir. Il s’en aperçoit.
    
    J’ai son gros mandrin dans ma main droite, c’est ...
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