1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... mis tout mon amour fraternel dans les soins que je leur ai donnés. J'enfile sans peine les bottines, je les zippe, je pose un baiser sur chacune.
    
    Ma Sœur se lève. « Apporte-moi vite mon ciré rouge! » Je souris et ose prendre la parole, car je sais que Clémentine est bien moins sévère que ne l'était Maman sur le chapitre de mon mutisme obligé. « Le voici, Clémentine chérie. J'avais pensé que vous aimeriez le porter car il est du même rouge que vous bottines... et il vous va si bien!... » Ma Sœur se penche et me pose un chaste et doux bécot sur le front. « Tu es un vil flatteur... mais un excellent serviteur, et j'ai bien de la chance de pouvoir disposer de toi à ma guise! Maman avait bien raison... »
    
    Je tends à Clémentine sa minuscule pochette, rouge elle aussi, et elle se dirige vers la porte. Je me précipite pour la lui ouvrir. Puis, baissant la tête, regardant la pointe de ses bottines, je demande de ma voix la plus humble : « Est-ce que je pourrais vous rendre hommage en vous souhaitant une bonne soirée, chère Sœur? -- Non seulement tu le peux, frérot, mais tu le DOIS! »
    
    Alors, je me laisse tomber sur mes rotules, je me prosterne et je baise à pleine bouche la pointe des bottines. « Oh, comme j'aime te voir ainsi à mes pieds! » soupire Clémentine en posant son autre talon sur mon crâne. « Mais je ne suis pas une ingrate. Tu vas tout de suite recevoir ta récompense. Allonge-toi vite sur le dos et ferme les yeux! » J'obéis à l'instant, raide, les bras allongés le ...
    ... long du corps, les paupières fermement closes. J'entends un bruit de pas, un frôlement au-dessus de moi, un souffle de tissu déplacé. « Regarde maintenant! » J'ouvre grand mes yeux et mon regard plonge sous la robe de ma Sœur qui reste plusieurs secondes à se dandiner lascivement au-dessus de mon visage. Quelle récompense! Quelle beauté! Quelle attirance! Quel appel charnel! Mais aussi quelle atroce douleur dans ma cage! Puis Clémentine lève un pied et pose une semelle sur mes lèvres, mais sans chercher à me faire mal. Je la lèche sans répugnance. Ma Sœur me dit : « C'est bien! Tu es le plus charmant des garçons... N'oublie pas que tu as du travail à faire pour moi », puis elle enlève son pied de ma bouche. « Je crois bien que tu es mon esclave, dit-elle en riant, et si tu savais comme je peux aimer ça! »
    
    Puis elle sort, elle est partie, je reste seul.
    
    ***
    
    Eh bien, je vais vous dire : je ne dormirai que d'un œil jusqu'à ce que Clémentine rentre au petit matin (si elle rentre!), et alors je me précipiterai au-devant d'Elle, je La débarrasserai de sa pochette, de son ciré, puis je La suivrai dans sa chambre, je m'agenouillerai devant Elle qui Se sera laissée tomber sur le canapé ou sur son lit pour que je La déchausse après avoir pris soin de baiser ses bottines puis ses bas si Elle les porte encore, et quand ses Pieds seront nus, je baiserai de même leur Peau tendre et transparente, toute moite, tout odorante, sous laquelle se dessine le fin réseau des veines...
    
    Et ...