1. Pas touche! Partie 2


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Première fois Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: sensualites, Source: xHamster

    ... vous le restiez pendant tout ce temps où vous serez près de moi aujourd’hui.
    
    Il faisait une chaleur lourde et moite et peut-être cela m’a-t-il un peu aidé… Sans exprimer la moindre expression, elle s’est tournée alors vers moi et, tout en me regardant, a commencé à défaire les boutons de son chemisier.
    
    Son regard était littéralement rivé au mien mais, peu à peu, j’avoue que, tout aussi fascinant qu’il soit, j’étais irrésistiblement attiré par un tout autre spectacle… Celui d’un décolleté somptueux qui devenait de plus en plus plongeant… jusqu’au vertige.
    
    J’avais un peu sous-évalué les proportions de cette superbe poitrine dont les lignes sublimes s’offraient devant moi à quelques centimètres, tout juste habillées par un soutien-gorge crème à l’impudique transparence. Lorsqu’elle dégrafa et fit glisser ce dernier rempart, elle se trouva ainsi torse-nu et accomplit ce geste aussi simplement que si je n’avais pas été là.
    
    Je buvais littéralement des yeux le paysage de sa poitrine opulente et pleine de fraîcheur. Tous ces reliefs délicieux qui dessinaient son magnifique buste étaient de vibrants appels pour qu’un homme les touche, les caresse… mais je savais que cela m’était interdit !
    
    Alors qu’elle s’affairait comme à son habitude et avec les mêmes gestes, à préparer mes médicaments, je m’approchais autant que je pouvais sans jamais l’effleurer. Une fois encore privé du plaisir tactile, c’était son odeur qui m’offrait la volupté de savourer la réalité de sa ...
    ... présence.
    
    Elle n’était pas que l’image animée d’une nudité sur laquelle j’avais tant fantasmé. Je me rendais compte qu’une fois encore, l’offrande d’une partie de son corps qu’elle sacrifiait pour moi en toute impudeur, s’accompagnait du don d’un parfum subtil, d’une odeur. Je ressentais à quel point la nudité elle-même avait son odeur, que chaque partie d’un corps de femme pouvait y être ainsi reconnaissable.
    
    Je respirais ainsi autant que je le pouvais le délicieux fumet du sillon profond plongeant entre ses seins et où perlaient quelques gouttes de sueur. Ces derniers gonflés et souples à la fois, semblaient gorgés de lait, ce qui était absurde chez une jeune femme qui n’était pas encore mère, ni sur le point encore de le devenir… Et la sensation olfactive semblait prolonger cette illusion. J’avais vraiment l’impression de sentir l’odeur du lait chaud…
    
    Et puis je me tirais de mes douces rêveries pour témoigner de mon admiration :
    
    — Ils sont magnifiques ! Plus beaux encore que je ne l’avais espéré. Quelle chance peu ordinaire aura l’enfant qui pourra les téter… à moins que ce soit un homme… peut-être que cela a déjà été fait ?
    
    Elle ne put dissimuler un léger rougissement et alors qu’elle avait plaisir à me regarder la flatter, elle détourna à cet instant son regard. Je n’insistais pas mais je m’imaginais les lèvres d’un amant se lover autour de ses superbes aréoles et les flatter du bout de la langue dans un geste de succion régressif. J’aurais tellement aimé ce ...