Pas touche! Partie 2
Datte: 16/03/2021,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: sensualites, Source: xHamster
Le lendemain matin il n’était plus question ce jour-là qu’elle me réveille. J’étais prêt pour la recevoir bien avant l’heure nécessaire. Je m’étais préparé pendant un long moment pour me présenter, autant que possible dans mon état, sous le meilleur jour. Je restais assis sur le lit tout habillé à l’attendre…
Je réalisais que c’était la première fois depuis bien longtemps que je n’avais connu une pareille excitation. J’avais l’impression de revivre les émois de mon adolescence. Moi qui avais largement l’âge d’être son grand-père, j’étais dévoré d’angoisse et d’émotion à l’égard de cette jeune femme qui, précisément, sortait tout juste de l’adolescence. Je la percevais dans ses réactions, dans l’assurance de son comportement et cette capacité à satisfaire mon désir tout en restant maîtresse du jeu, quelque part, comme bien plus mûre que moi.
Sophie, après m’avoir au même titre que la jeune fille de l’hôpital, rassuré sur la vigueur de ma virilité, me plongeait désormais dans le plus profond désarroi. Je comprenais, aussi ridicule que cela puisse paraître à mon âge et surtout au regard de ce que j’avais vécu, que j’étais totalement sous le charme de ma belle infirmière.
J’étais passionnément amoureux d’elle, amoureux au point de guetter le moment de sa visite avec une appréhension dévorante. J’avais peur qu’elle ne vienne pas et qu’elle mette brusquement un terme à ce rapport singulier, secret et intime qui venait de se nouer. En fait, je craignais qu’elle se soit ...
... moquée de moi et qu’elle feigne d’ignorer notre contrat pour m’humilier, par un jeu qui n’aurait pour elle que la saveur du sadisme.
Lorsque j’ai enfin entendu la porte s’ouvrir, il m’a semblé que les bruits qui me parvenaient n’étaient pas ceux habituels de ma bien-aimée… La sécheresse avec laquelle la porte était refermée, tout comme la fermeté arrogante des pas qui claquaient retentissants sur le carrelage trahissaient une métamorphose que je craignais par dessus tout. Soit c’était l’effet d’une distance qu’elle allait d’évidence à nouveau vouloir instaurer entre nous, soit pire encore, ce n’était pas elle, et elle avait préféré se faire remplacer au pied levé plutôt que d’avoir à affronter un jour de plus mon regard de vieux lubrique.
Au moment où j’ai relevé la tête, c’est son odeur encore une fois qui m’a rassuré sur ce deuxième point alors qu’elle n’était pas arrivée jusqu’à ma chambre… j’aurais au moins le plaisir de la revoir encore une fois… mais c’était tout sauf du plaisir que je ressentis tout d’abord… J’avais tellement peur de la trouver plus lointaine encore que ce premier jour où elle s’était présentée à moi. Sous l’effet de ce que j’avais pris pour de la timidité elle avait alors semblé éviter mon regard…
À peine était-elle apparue aujourd’hui qu’elle fit fondre mon inquiétude en me gratifiant de son joli sourire. Tout de suite je m’aperçus que sa beauté naturelle était plus troublante encore que les premiers jours. Elle s’était maquillée d’une façon ...