1. Henriette


    Datte: 16/03/2021, Catégories: fh, extracon, gros(ses), grosseins, groscul, gymnastiqu, odeurs, Oral 69, pénétratio, occasion, extraconj, Auteur: Jo Carisma, Source: Revebebe

    ... vous m’avez mis. J’ai la bite toute tendue et dure comme la pierre. Vous n’allez pas me laisser comme ça !
    
    Accroupi sur sa poitrine, je lui présente alors ma trique, droite et érigée devant son nez. Le bout est rougeoyant et ne demande qu’à être happé.
    
    — Écoutez, je suis d’accord pour vous sucer, pour vous soulager, mais après… il faudra que vous soyez sage… il faut que vous me promettiez…
    
    Elle n’a pas le temps de finir sa phrase, je lui enfonce déjà ma queue en bouche. Fermement, en lui tenant la tête, et je lui baise les lèvres.
    
    — Humm, cochonne, Je vois surtout que t’aimes sucer ma bite !
    
    Pour toute réponse, je l’entends glousser ? Elle roucoule de plaisir et bave le long de mes couilles. Je lui enfonce mon sexe jusqu’au fond de la gorge et la pénètre avec violence, elle a soudain un haut-le-cœur. Conscient d’avoir été cette fois-ci un peu trop brutal, je me calme un peu et la laisse me piper plus tranquillement. Elle s’applique avec ferveur, prend le temps de gober mes couilles une à une, pour passer sa langue sur toute la longueur de ma pine avant de l’avaler. Elle ponctue cette longue fellation de « Humm » de contentement qui semblent, au fil du temps, de plus en plus forts et de plus en plus fréquents. Visiblement elle apprécie de pouvoir jouer ainsi avec ma bite, ça l’excite tant et si bien que c’est maintenant elle qui me propose de la baiser, alors qu’elle s’y refusait il y a quelques minutes. Finies donc les bonnes résolutions ! Elle s’agenouille ...
    ... à quatre pattes et tend vers moi son gros derrière.
    
    — Allez, viens, baise-moi, tu m’excites trop. Enfonce ta grosse bite en moi, je n’en peux plus d’attendre. Prends-moi, cochon !
    
    Le petit Jésus qui orne son cou en devient presque obscène.
    
    Inutile de la faire attendre, son gros cul réclame un traitement de choc. Je m’approche d’elle pour claquer ses fesses avec violence. Elle a beau avoir mal, elle gémit d’aise à chaque fessée. Je la traite d’obsédée, de vicieuse, de salope et frotte mon gland contre ses fesses, contre sa vulve et dans sa raie.
    
    — Pine-moi, implore-t-elle d’une voix très rauque.
    
    Mais je la fais encore languir, pénètre sa grotte et en ressors. C’est alors que la grosse bonne femme proteste, me supplie à nouveau de lui baiser son gros derrière. Elle remue langoureusement son popotin et semble complètement déchaînée. Puis, dès que je lui en laisse l’occasion, elle passe sa main derrière elle, agrippe fermement ma bite et dirige mon dard contre sa vulve. Elle l’engloutit d’un coup de fesses et gémissant de contentement.
    
    J’y vais franco et me déchaîne contre son derrière. Nous baisons un long moment comme des bêtes, en ne suivant que notre instinct. J’ai très envie de la saillir, de l’engrosser, j’ai cru comprendre qu’elle avait encore ses règles mais, à son âge, la probabilité de tomber enceinte est bien sûr, plus qu’infime. Sans doute prend-elle d’ailleurs la pilule ? Curieusement, c’est à l’éventualité de la mettre en cloque que je pense, en ...
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