Heur et malheur de la môme Zara
Datte: 16/03/2021,
Catégories:
ff,
couleurs,
revede,
noculotte,
nonéro,
mélo,
historique,
amourdram,
Auteur: Annie-Aime, Source: Revebebe
... de chute.
— Venez chez moi, si vous voulez. En tout bien tout honneur, je vous assure, proposa-t-il.
L’homme paraissait sincère et elle le trouvait sympathique. La proposition était tentante. Malgré tout, la cohabitation effrayait la jeune femme. Elle n’avait dit ni oui ni non.
Une fois débarquée toutefois, Zara se trouva désemparée, le jeune homme comprit, il renouvela son offre qu’elle accepta avec reconnaissance.
Hervé occupait un petit appartement au premier étage d’un immeuble délabré du centre-ville. Et d’entrée de jeu, tenant parole, Il la mit à l’aise :
— Ne t’inquiète pas, je dormirai dans le salon, sur un lit picot.
Au matin, Hervé était évidemment fourbu et pire encore le matin suivant.
Entre-temps, comme il était prévisible, Zara ne parvint pas à trouver d’alternative. Tout au plus dégotta-t-elle, au hasard de sa quête, un tenancier de cabaret dont les affinités ethniques étaient porteuses de promesses. Il voulait bien l’employer et la loger, à condition toutefois de pouvoir la sauter. Naturellement, elle refusa l’offre de son « pays » et revint, penaude, quémander du délai auprès de son logeur bienveillant, consciente qu’elle abusait.
Pauvre« nasara » ! Il se brisait l’échine sur ce lit de camp inconfortable. N’aurait-il pas mieux fait de coucher sur une natte posée à même le sol ? Zara avait l’habitude, elle aurait pu le lui dire mais elle n’en fit rien, taisant sa compassion et gardant les réflexions pour elle.
Au soir du ...
... troisième jour cependant, elle lui proposait de partager la couche moelleuse à souhait, en tout bien tout honneur, bien entendu.
En dépit des réserves et conditions que la jeune femme avait formulées, ce fut elle qui prit l’initiative des travaux d’approche. Elle n’eut pas à fournir grands efforts, leurs corps, déjà, se touchaient presque. Un déplacement imperceptible suffit pour établir le contact mais il fallut qu’elle se lovât carrément sur le flanc du mâle, enroulant sa jambe repliée sur les siennes, pour qu’il comprît enfin l’invite.
Dès lors qu’il avait saisi, le mâle prit les commandes et peu après, le couple faisait comme des millions d’autres, communiant à la recherche de la félicité.
Les premiers élans d’enthousiasme satisfaits et tandis qu’ils reposaient dans les bras l’un de l’autre, Zara éprouva le besoin de découvrir, promenant nonchalamment l’index et le majeur sur le torse et l’abdomen imberbes de son amant. Les doigts de la jeune femme cheminaient lentement et de manière erratique sur la peau satinée et douce. Douce… douce, douce comme celle d’un bébé.
À un moment donné, mue par une pulsion, elle y posa ses lèvres et refit avec elles le parcours que ses doigts avaient repéré. Puis, de fil en aiguille, elle se laissa couler plus bas et plus bas encore, jouant un moment avec la toison soyeuse et claire avant de s’emparer de la tige à nouveau turgescente dont elle mignarda le gland. Puis, d’un coup volontaire et brusque, elle se décida à emboucher le tout ...