Les girolles - Histoires de Sexe

Les girolles

... qu’elle est différente de la mienne. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je jette un œil sur Laurent. La totale ! Il a sorti son sexe de son pantalon et il se branle, langoureusement ! Je suis un peu perdu, là. Il me regarde.

— Vas-y, cool, fais comme moi, pense à Sonia.

Le truc fou, c’est que comme un automate, sans réfléchir, j’ouvre ma braguette, prends mon sexe entre mes doigts et je commence à me caresser. Je suis en train de me branler devant un mec !

— Vous avez commencé sans moi ?

Sonia vient d’arriver. Je bredouille en enfouissant mon sexe dans son logement initial, rouge de honte sans doute, alors que Laurent continue tranquille. Sonia s’assied aussi. En douceur, elle ressort mon sexe. Je ne sais quoi faire. Elle commence une douce et agréable caresse. Personne avant elle n’avait touché mon sexe pour me caresser, même pas ma femme.

— Si tu savais combien de fois j’ai eu envie que tu me baises comme un animal, au bureau !

Là, je suis vraiment excité ! Sonia, qui me parle aussi crûment… Je regarde Laurent, Sonia. C’est quoi, ce piège ? Non, tout a l’air normal. Sonia prend alors mon sexe dans sa bouche, et Laurent me dit :

— Laisse-toi faire, profite.

Tout en disant cela, il passe derrière elle, lui baisse le pantalon sur les chevilles et fourre sa main dans le sexe de Sonia.

— Tu verrais comme elle est chaude, comme elle coule !

Et il retire sa main, l’approche de mon visage et me fait sentir ses doigts. Je suis dans un autre monde, et pourtant ...

... tout a l’air normal. Sonia gémit doucement, Laurent a remis sa main dans sa culotte. Elle arrête sa délicieuse fellation et me regarde droit dans les yeux :

— Allonge-toi, m’intime-t-elle.

Je m’allonge. Elle vient s’asseoir sur ma bouche. Son sexe est ruisselant. Il sent la femme, l’urine, la sueur… Habituellement, avec Laurence, rien ne se passe avant un bain et un nettoyage minutieux, et me voilà en train de lécher le sexe même pas lavé d’une relation de travail ! Elle se retourne et me prodigue la même chose. Je la relève de temps à autre pour mieux voir sa grotte, pour mieux promener mes doigts et…

… C’est quoi ça ? La langue de Sonia est sur ma bite, mais… mais… c’est Laurent ! Je sens sa langue qui se promène entre mes testicules et mon anus, et je trouve ça bon, et je me laisse faire. Je suis emporté par un maelström de sexe, de plaisir, c’est trop bon ! Je sens que je vais jouir ! Eux aussi. Ils me bloquent, Sonia aspire ma queue pendant que Laurent me caresse l’anus avec son doigt et l’enfonce dans mon cul. C’est terrible ! Je pousse un vrai cri, je me vide, j’ai l’impression que j’éjacule en continu. Je reste quelques instants un peu groggy. Sonia et Laurent nettoient mon sexe avec leurs bouches. Ils me sourient.

— Alors, ces girolles, on y va ? Mais débrouille-toi pour être chez nous cet après-midi. Tu verras, tu ne le regretteras pas !

À suivre, peut-être : j’ai tout eu, tout fait, avec Sonia, avec Laurent et je me suis fais « déniaiser » à 44 balais…