1. Les girolles


    Datte: 15/03/2021, Catégories: fhh, fbi, hbi, Collègues / Travail hépilé, fépilée, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation Oral 69, hdanus, uro, Auteur: Lechant, Source: Revebebe

    Et pourtant, c’est bien arrivé.
    
    44 ans, marié, père de famille, sans histoire, ni aventure, bon père, bon camarade, pas de folie sexuelle, jusqu’à ce jour où…
    
    Samedi matin. Je vais partir ramasser quelques champignons en montagne comme cela m’arrive parfois. Un café vite avalé et je m’apprête à sortir. Le jour pointe à peine en ce début de septembre, quand j’entends une voiture se garer dans l’allée.
    
    « Quel est ce c… ? Il va réveiller Laurence et les enfants ! »
    
    Je sors mi-curieux mi-agacé. Sonia et Laurent : une collègue de bureau et son mari. Nous nous fréquentons un peu : ils n’ont pas d’enfant, nous trois. Ils passent leur vie en discothèque et club « libertin ». Nous, c’est sport, randonnée, famille (je ne m’en plains pas). Ils sont en « tenue nocturne » : elle mini-jupe et mini-top, lui pantalon en cuir et tee-shirt sans manches. Moi, c’est treillis et pantoufles. (Les bottes sont dans le coffre.)
    
    Surpris, une bise vite claquée à Sonia, une poignée de main à Laurent.
    
    — Venez, le café est chaud. Mais silence ! La « maison » dort encore.
    — Merci.
    — Que faites-vous là ? Il est à peine 6 heures.
    — On sort de boîte ! On n’a pas sommeil. Tu m’as parlé de tes girolles, hier, au bureau, et un coup de folie : nous aimerions venir avec toi.
    — Grmmm… Vous êtes sûrs ? Vous avez vu comment vous êtes habillés ? Les champignons, c’est sérieux…
    — Tu n’as pas un truc à nous prêter ?
    
    Sonia et Laurent font la même taille que Laurence et moi, à quelque chose ...
    ... près. Une rapide visite au garage et je leur donne des tenues plus appropriées et des bottes. Sans complexe, ils se déshabillent dans le garage. Je me surprends à les regarder, elle comme lui. Sonia arbore une minuscule culotte et un soutien à peine plus grand. Lui porte un boxer moulant en matière brillante. Ils sont bien foutus pour leurs 45 ans. (Moi-même, ancien coureur de demi-fond, je suis plutôt bien conservé, paraît-il) Et truc que je n’avais jamais vu : il n’a pas un poil sur le corps. Je ne regarde pas souvent les hommes (pas beaucoup les femmes non plus).
    
    En voiture ! Et nous voilà partis, vite sortis de la ville (Chambéry) et direction la Chartreuse, ses sombres forêts et mes coins à champignons. Nous discutons de tout et de rien, quand Sonia, ressentant un besoin urgent, me demande de m’arrêter. Elle glisse vite dehors et, entre les deux portières, se déshabille. Une vraie fontaine sort de son minou. Je déglutis, regarde ailleurs. Dans le rétro intérieur, Laurent me sourit. Je prends cela comme un encouragement et regarde à nouveau. Cela n’en finit pas.
    
    Elle, le plus naturellement du monde :
    
    — Avec tout le champagne de cette nuit, et le café après, ça allait déborder !
    
    Je suis quand même surpris par ce manque de pudeur, mais c’est fait tellement naturellement que cela n’est pas choquant. Malgré tout, je bande, et avec mes caleçons et mon treillis ample, ça va se voir. C’est moi le plus gêné, dans l’histoire ! Toujours aussi naturellement, Sonia remonte ...
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