1. Caroline, libre et libertine


    Datte: 14/03/2021, Catégories: f, fh, ff, ffh, grp, fbi, couplus, prost, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, conte, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... plus affriolants, ainsi couchée sur mon épouse. Aussi, permettez-vous, Madame, que je vous sodomise ? Je ferai doucement et promets de ne point vous faire mal.
    — Je vous en prie, mon cher comte : considérez ce soir que ma petite rosette vous appartient, puisqu’elle a l’insigne honneur de vous exciter, et ce de la manière la plus visible qui soit, dit-elle en désignant le braquemart en position de midi. Vous, au moins, êtes un gentilhomme et connaissez la galanterie qui sied aux Messieurs de bonne famille. Prenez soin cependant de bien lubrifier votre chose virile afin que je ne sois point écartelée par elle, comme le fut à quatre chevaux l’assassin d’un roi, puis venez donc me transpercer l’œillet qui n’attend que vous.
    — Avant tout, il y a une chose que je dois humblement vous confesser : tout à l’heure, dans le couloir, c’était moi qui vous espionnais en train de libérer vos boyaux… Je ne puis m’empêcher de laisser traîner mon regard sur les belles telles que vous dans ces moments intimes, et vous étiez tellement plaisante à voir que mes yeux en sont encore tout illuminés de joie. Certes, la pratique des plaisirs d’enculage est une activité que l’on peut qualifier de sale, convenons-en, mais si vous me faites la grâce de me pardonner de mon indiscrétion de tout à l’heure, je me ferai une joie de vous nettoyer votre délicate rosette avec mon mouchoir parfumé, puis de lécher cet endroit avec une assiduité sans faille aussi longtemps qu’il vous plaira avant d’y glisser ma ...
    ... modeste bistouquette.
    — Mon ami, faute avouée est à moitié pardonnée, et l’autre moitié, je vous l’offre de tout cœur. Mais, bien que je ne sois pas excessivement pudique, ne recommencez pas sans ma permission, autrement vous aurez affaire à moi, et retenez que le corps des femmes n’est pas une œuvre d’art dont on peut s’emparer sans vergogne.
    
    Il se met à genoux et fait avec application et dévotion tout ce qu’il a promis, aidé de ma femme qui suçote devant tandis qu’il le fait derrière, pratiquant en trio ce que le comte de Sandwich vient d’inventer afin d’avoir plus de temps pour jouer aux cartes, en remplaçant les tranches de pain par leur personne et le jambon par la belle Caroline.
    
    — Si vous le souhaitez, ajoute la comtesse, je peux vous prêter mon godemiché, afin de remplir aux mieux vos deux gaines en même temps : votre plaisir n’en sera que plus complet.
    — Je veux bien, merci. Il m’est arrivé, à l’occasion, de m’amuser de la sorte avec les bougies qui éclairent ce château, mais la cire a tendance à fondre après quelque temps, ce qui s’avère pénible. Vous êtes aussi remplie d’attentions pour moi que je le serai bientôt par vos soins respectifs.
    — Prenez-en soin : c’est un trésor de famille, un petit bijou que nous nous transmettons de mère en fille depuis d’innombrables générations, et qui a fait la volupté de bien de mes aïeules. Il saura vous combler en envahissant votre fourreau de ses très doux services.
    — N’ayez crainte, car si je suis profonde, ce n’est ...
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