Les démons de Maria
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fhh,
fffh,
fhhh,
grp,
couplus,
extracon,
cocus,
inconnu,
boitenuit,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... position d’infériorité évidente. Cette situation était encore amplement amplifiée par le fait qu’elle était dans la posture d’une femelle soumise réclamant la saillie comme une chienne en chaleur.
Ses partenaires s’en jouaient avec délectation. Fred tapotait sur l’extrémité du godemiché qu’il enfonçait dans son anus et lui claquait les fesses avec un joli bruit. Cyril devait trouver la chose plaisante car il entreprit lui aussi de donner une fessée à Maria qui continuait à pomper la bite du gros René sans protester. Les coups claquaient fort et devaient faire mal. Cela tournait à la démonstration de force ; cette femelle était domptée, soumise au bon vouloir de ses maîtres. Elle avait le cul rougi. Elle commença à sangloter de rage, d’humiliation, de désir peut-être, de douleur aussi. On lui demanda :
— Et maintenant, connasse, dis-nous ce que tu préfères ; tu as le choix de la reine des putes : te faire baiser ou te faire enculer ?
— Baisez-moi, bande de connards !
— En plus d’être salope, tu es grossière.
— Traitez-moi de ce que vous voulez, je m’en fous.
— Sacré René… À toi l’honneur !
— Je ne vais pas me priver. Tu diras à ton mari que je m’excuse de te baiser sans capote, mais j’ai peur de débander.
— Laissez mon mari tranquille, après tout ce que vous m’avez fait.
— Allez, allonge-toi et écarte les cuisses, ma belle !
— Baisez-moi ; que ce soit René ou un autre, ça m’est égal.
— Elle est trop mignonne…
Maria avait crié en sanglotant ; elle pleurait ...
... de rage et aussi de se sentir impuissante à contenir son désir. Refusant la vérité comme Saint Thomas, j’allais avoir la preuve de ce que je craignais sans vouloir y croire. Le vieux pachyderme se dénuda. Sa queue semblait incongrue : colonne de chair dure comme du marbre émergeant de la graisse du ventre, le membre était raide, ferme, conquérant, et pointait fièrement vers le ventre offert. On aurait dit l’étrave d’un navire fendant une mer de viande flasque. Il s’installa entre les cuisses de Maria, monta sur elle en remontant son ventre, ajusta la queue raide sur la fente béante, et d’un coup de reins lui fourra sa queue jusqu’à la garde tant il était attendu et désiré.
L’objectif s’était focalisé sur les sexes imbriqués, offrant un gros plan sur celui de ma femme et du vieux. Maria était ouverte, ses lèvres intimes semblaient rougies au fer ; le vieux bandait comme un bouc. Au début, elle esquiva la bouche et la langue curieusement pointue qu’il dardait comme un serpent, mais elle finit par capituler et lui abandonna sa bouche qu’il embrassa goulûment en y fourrant sa langue de couleuvre. Cette vision me répugnait. Comment ce gros tas de graisse pouvait-il copuler ainsi avec ma femme ?
L’éléphant de mer prenait soin de ne pas écraser sa femelle. Il forniquait en appui sur les mains, sa graisse tressautant à chaque assaut, son gros cul flasque et graisseux suivant ses coups de reins : c’était une marée de graisse, des vagues de chair sans consistance qui allaient et ...