1. Les démons de Maria


    Datte: 14/03/2021, Catégories: fhh, fffh, fhhh, grp, couplus, extracon, cocus, inconnu, boitenuit, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... Et toi ?
    — Ça va…
    — Tu la sens bien, ma queue ?
    — À ton avis ? Mais je préfère par la chatte.
    
    Il ponctuait chacun de ses commentaires, chacun de ses coups de boutoir par une claque retentissante sur les fesses rebondies qui devaient déjà être rouges. Cyril décréta qu’il lui fallait une double pénétration. Maria s’effraya :
    
    — Vous ne pouvez pas me faire ça, ce n’est pas possible.
    — Mais si, et tu vas aimer.
    — Je ne l’ai jamais fait.
    — Quand tu l’auras fait, tu ne pourras plus t’en passer.
    
    Prestement et avant de nouvelles protestations, il se glissa sous Maria toujours enculée par son compère et parvint à se positionner correctement après quelques contorsions. Il put alors enfiler son sexe dans le con de ma femme et commença à la baiser. Empalée par ses deux orifices, ma chérie connaissait la première double pénétration de sa vie ! Elle s’efforçait juste de garder l’équilibre, en appui sur ses genoux et sur ses mains ; elle avait les yeux exorbités, la bouche ouverte comme si elle manquait d’air. Les deux étalons n’entendaient pas ménager la pouliche : ils avaient vite compris que ma chérie appréciait une certaine bestialité dans l’accouplement, alors ils la baisèrent copieusement, l’écartelant sous leurs coups de boutoir conjugués. Tout son corps tressaillait, tant ils la bourraient avec vigueur. Maria affichait son plaisir à être bousculée de la sorte ; elle finit par jouir. C’était tellement facile de la faire jouir… Mais son orgasme ne fut pas à la ...
    ... hauteur de son exploit.
    
    Puis Cyril décida que c’était assez, se dégagea et enleva son préservatif. Il mit son sexe dans la bouche de Maria pour qu’elle le finisse, ce qui fut rapide. Il s’arrangea pour qu’elle avale toute sa semence en maintenant sa tête plaquée contre son bas-ventre. Le deuxième se soulagea entre les fesses de ma femme que ni l’un ni l’autre n’avait réussi à mener au nirvana malgré une débauche d’énergie et de luxure.
    
    Les deux hommes semblaient en avoir fini avec Maria tandis qu’elle restait à quatre pattes sur le lit, haletant en essayant de recouvrer son souffle après ce rapport épuisant. Elle regarda ses partenaires qui se rhabillaient et s’étonna :
    
    — Vous partez tous les deux ?
    — Pourquoi ? Tu veux qu’on reste ?
    — Au moins un de vous deux.
    — Pour quoi faire ?
    — Vous le savez très bien. S’il vous plaît…
    — Je ne le crois pas : cette connasse en veut encore !
    — Je ne suis pas une connasse ! Vous ne pouvez pas me laisser comme ça.
    — Moi, j’ai assez limé pour ce soir.
    — Et moi je n’ai plus rien dans les couilles.
    — Et moi j’ai très envie d’une queue ; ne me laissez pas dans cet état !
    — Ça tombe bien : notre copain René va s’occuper de ton cas.
    
    Et le fameux René entra en scène. Je reconnus le gros plein de soupe qui tripotait Maria, l’incarnation de Pervers Pépère. Une blonde platinée plutôt enrobée apparut avec lui, un vanity à la main. Elle se déshabilla complètement, au grand étonnement de Maria. La blonde s’assit sur le lit. Montrant un ...
«12...678...15»