1. Les démons de Maria


    Datte: 14/03/2021, Catégories: fhh, fffh, fhhh, grp, couplus, extracon, cocus, inconnu, boitenuit, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... retenir fermement à la rampe il a eu le champ libre pour me la mettre. Il avait un sexe énorme et m’a fait mal. Heureusement que j’avais été ouverte et lubrifiée par les autres. Je l’ai supplié de faire ça sur un divan à côté, alors il m’a portée avec sa queue toujours en moi et m’a baisée sur la banquette. Il m’a laissé m’habituer à sa bite ; c’est de loin la plus grosse que j’ai jamais eue ! Il me remplissait tellement qu’il touchait le fond de mon vagin ; je ne pensais même pas que j’étais capable de recevoir un engin aussi gros. Ce salaud a compris dans quel état j’étais ; il a su qu’il allait me baiser comme une chienne. Au début, il bougeait à peine pour me laisser m’habituer à lui puis il a commencé à aller et venir, tout en douceur d’abord, puis de plus en plus fort. Il était énorme, il était très endurant, il a même été bestial sur la fin. J’ai honte, mais j’ai joui presque aussi fort qu’avec le vieux. J’ai réalisé que ce salaud n’avait pas de préservatif quand il a déchargé dans ma chatte. Il m’a traitée comme une pute, il m’a rempli le ventre, et j’ai adoré ça. Cela s’est passé sur la mezzanine au-dessus du bar, juste au-dessus de ta tête. C’est un Arabe d’une cinquantaine d’années avec une petite moustache ; je le reconnaîtrai. Après, il s’est moqué des salopes européennes et de leurs maris en me disant à l’oreille que je ne serai ni la première ni la dernière à rejoindre son cocu avec du jus de melon plein le ventre. Tu vois : cette nuit, tout le monde est ...
    ... passé sur ta femme.
    
    Maria éclata en sanglots. Je ne savais pas quoi faire pour la consoler. Elle continua :
    
    — Je n’ai rien fait pour l’empêcher de me baiser ; bien au contraire, j’étais prête et disponible, et je n’ai pas pu me retenir de jouir. J’ai crié de plaisir pendant qu’il me remplissait le ventre de son foutre.
    — Tu n’étais pas dans ton état normal…
    — Tu m’entends ? J’ai joui comme une folle, et il a ri de moi ! Il m’a dit que j’étais une vraie truie.
    — Il aurait pu s’abstenir d’être grossier.
    — Non, il avait raison. Et il a ajouté que s’il me croisait au bras de mon mari, je pourrais toujours jouer les petites bourgeoises vertueuses, on savait tous les deux comment il m’avait baisée à fond : il m’avait vu me tordre comme une folle au bout de sa bite, et ça le faisait marrer. J’ai joui avec tout le monde, à chaque fois qu’on m’a baisée. À chaque fois, tu te rends compte ? J’ai honte.
    — Ne dis pas des choses pareilles ! Tu crois que tu pourras oublier ce qu’on a fait ?
    — Plus tard, je ne sais pas. Pour le moment, je ne me supporte plus moi-même. Et je ne peux pas supporter l’idée de t’avoir perdu.
    — Écoute, tu es toujours ma femme. On a encore fait une très grosse bêtise tous les deux ce soir, mais je t’aime ; je ne peux ni ne veux vivre sans toi.
    — C’est vrai ?
    — C’est la seule chose importante, notre amour. On a eu une sacrée leçon, tous les deux ; il faut en tirer le meilleur parti et continuer. Au moins, maintenant on sait ce qu’il ne faut pas faire.
    — ...