Les démons de Maria
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fhh,
fffh,
fhhh,
grp,
couplus,
extracon,
cocus,
inconnu,
boitenuit,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... sa victoire : il la baisa en maître absolu, la posséda corps et âme, forniquant dans une dernière ligne droite à grands coups de reins violents. Maria perdit le contrôle de son corps ; telle une poupée désarticulée, elle se tordit dans tous les sens comme si tous ses muscles voulaient en même temps leur part de plaisir, gigotant autour du membre fiché en elle comme soumise à des décharges électriques. Elle jouit enfin en hurlant son plaisir. Après cette démesure insensée, tétanisée, elle se tendit en arc de cercle sous la masse de son amant puis retomba inerte et sans connaissance.
L’orgasme avait été aussi fulgurant que colossal ; à dire vrai, je n’avais jamais vu ni Maria ni personne jouir aussi fort : même l’orgasme d’anthologie qu’elle avait eu avec son premier amant était surclassé de loin. Et pourquoi avec ce vieux libidineux ? Était-ce justement parce qu’il était vieux et moche, gras à en dégoûter une otarie en chaleur ? Était-ce dû à l’incongruité de cet accouplement ? Était-ce parce qu’elle avait franchi le point de non-retour dans la soumission en consentant puis réclamant un rapport sexuel sordide avec un type auquel, dans son état normal, elle répugnerait même de faire la bise ? Serait-elle masochiste ? Était-ce le lieu, les rapports avec les deux beaux-frères qui l’avaient préparée pour la queue du papy obèse ? Il ne lui avait pourtant rien fait de spécial, à part l’écraser de son gros ventre et l’étouffer dans la graisse ; il l’avait juste baisée sans ...
... faillir, il avait su tirer parti du désir latent de Maria, méthodiquement, en vieux routier. Je me perdis en conjonctures, sans avoir de réponse, mais les faits étaient là : ma femme avait joui avec ce vieux porc bien plus intensément qu’avec moi ou avec n’importe lequel de ses amants !
Après s’être soulagé en elle, le phoque s’écroula en l’écrasant. Je n’étais pas tétanisé à la vue du spectacle comme la première fois que j’avais vu ma chérie me faire cocu ; le fait de regarder le film de ses aventures pornographiques en différé me laissait le recul nécessaire à une certaine capacité d’analyse, même si l’actrice principale était mon épouse légitime.
Le vieux avait rempli le ventre de l’héroïne de sa semence ; cette réalité me dégoûtait ! Je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui s’était passé et qui continuait à se passer au plus profond de son être ; je venais de visualiser la soumission et la saillie de ma femme. Je réalisais maintenant avec quelle ferveur son vagin avait recueilli le sperme réclamé dans l’extase. Moi qui m’émerveillais à chacun de ses orgasmes des contractions de ce fourreau si hospitalier, moi qui ressentais ces spasmes vaginaux comme autant d’incitations à la combler de tout le sperme que j’étais capable de produire, j’étais effrayé par ces mêmes réactions amplifiées au centuple tant l’orgasme avec le vieil obèse avait été puissant. L’idée que ses spermatozoïdes étaient en train de s’activer dans l’utérus de la femme de ma vie m’horrifiait ; je songeai ...