L'Agression
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
complexe,
policier,
fantastiqu,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... juste avant l’agression ?
Arrête, me dis-je. J’étais bon pour l’asile si je continuais à ce rythme.
Derrière moi, Nouria se douchait. Il était vingt-trois heures quarante.
— Ben ?
— Quoi ?
— Cela fait dix minutes que tu te regardes dans la glace, beau mec, me dit-elle en souriant.
L’eau cascadait sur son corps nu et recouvert de mousse.
« Je me regarde dans le miroir tant que je peux encore le faire », songeai-je stupidement.
— Désolé.
— Ne te ronge pas l’esprit. Je sais que c’est facile à dire, mais…
— Tu as raison.
Je la regardais, nue, sentant l’excitation grimper. Je devais me changer les idées. Lentement, j’ôtai mon t-shirt, sans cesser de la dévorer des yeux. Elle commença à se rincer.
— Tu viens te laver avec moi?
Je ne répondis pas et lui pris la main.
— Attends, je suis toute mouillée mon cœur.
— Tant pis. Je crois que ça m’excite encore plus.
Je la fis sortir de la baignoire, nue, et la serrai dans mes bras. Sa main effleura mon sexe tendu à travers mon caleçon.
— Hmmm, gémis-je. J’ai cru ne jamais te revoir.
Elle posa un doigt mouillé sur mes lèvres. Je l’embrassai en passant mes doigts dans sa chevelure frisée et mouillée. L’odeur de son gel douche m’excita d’avantage. Je passai mes mains le long de son dos, et lui caressai les fesses. Elle gémit et glissa sa langue sur mes lèvres. Lentement, je m’agenouillai devant elle, l’embrassai dans le cou, sur la pointe des seins, sur le nombril.
— Oui…
Elle s’appuya sur ...
... le rebord de la baignoire et ouvrit les jambes. Je glissai ma tête entre elles et pointai ma langue dans le délicat passage humide. Elle se crispa et gémit. Sans cesser de lui caresser le creux des cuisses, et en dardant vers elle un regard brûlant, j’ouvris de ma langue les plis de chairs humides et cachés.
— Ben… Hmmm… Hmm… Mets-moi un doigt.
J’obtempérai, en donnant un coup de langue bref sur son clitoris. Elle cria. Elle prit mon visage dans ses mains et me fit me redresser. Je léchai son ventre et tétai goulûment la pointe de ses seins. Nous nous redressâmes tous les deux.
— Au lit… gémit-elle. Viens… Viens…
Je la pris dans mes bras et la soulevai de terre. Je n’étais pas vraiment un colosse, mais le désir me donnait des ailes. Nous nous retrouvâmes dans notre chambre. Je l’allongeai sur le lit et allumai au passage la lampe de chevet posée sur la table de nuit. La délicate lumière éclaira le lit, la mettant en valeur. Je m’agenouillai au pied du lit. Elle écarta les cuisses en gémissant. Je voulus lui dire à quel point je l’aimais, mais je préférai le lui montrer par mes actes. Avec une tendresse infinie, je glissai ma langue sur son sexe, goûtant le délicat nectar qui s’en échappait.
— Ben…
Je lui fis l’amour avec ma langue, avec mes lèvres, avec mes doigts.
— Ben ! Oui ! Oui !
La pénétrer fut comme se glisser dans une huile exquise et brûlante. Lentement, sans précipitation, nous trouvâmes le rythme qui nous convenait à tous les deux, tendre, ...