1. Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir


    Datte: 14/03/2021, Catégories: h, fh, fhh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, jeu, Auteur: Phil, Source: Revebebe

    ... nouveau jouet ?
    — Oui ! Je l’adore déjà, on dirait un gros bâton de réglisse et je raffole de la réglisse, puis tournant son visage angélique vers moi, elle ajouta : mets-moi tes doigts mon chéri !
    — Ben si tu aimes tellement la réglisse ne te gêne pas pour goûter, au contraire, tu vois, tu lèches d’abord le bâton avec ta langue de bas en haut.
    — Comme ça ?
    — Oui c’est parfait, puis tu mets ta belle bouche en cœur pour happer le bout, et après tu le suces bien à fond comme si c’était un sucre d’orge !
    
    L’attitude de ma femme, d’un côté ingénue et joueuse dans ses dialogues avec Mamadou et de l’autre abrupte et crue dans ceux avec moi, m’excitait énormément. Cette liberté d’expression avait toujours été un stimulant pendant nos ébats et sa conjonction ce soir à une naïveté de composition, me rendait littéralement et irrationnel et fou de désir. J’avais envie de sentir plus intimement le plaisir qui se répandait dans son ventre, de le boire à la source, de l’intensifier encore, de lui faire savoir que je l’acceptais par amour. Je m’allongeai alors sur le dos et rampai pour me positionner entre ses cuisses. Elle déplaça ses genoux pour me faciliter le passage, puis lentement son corps s’affaissa sur mon visage. Nos bouches s’ouvrirent simultanément en parfaite communion : la sienne pour engloutir la friandise chocolat qui la faisait saliver depuis une semaine, la mienne pour déguster sa fente ruisselante.
    
    J’ouvris les yeux pour graver cette vision dans ma mémoire. Son ...
    ... bassin ondulait gracieusement sur moi, semblant vouloir se visser à ma langue, me faisant pratiquement suffoquer, ses petits seins aux tétons durs et tendus se soulevaient, dansant au rythme saccadé de sa respiration, ses doigts exploraient frénétiquement les fessiers noirs saillants, revenaient effleurer les lourdes bourses, les griffaient tendrement, puis s’amusaient à étreindre la hampe majestueuse, et ses joues se déformaient par moment sous le joug de la queue qu’elle pompait sans retenue avec une avidité débordante. J’envoyai ma main gauche aiguiser délicatement son petit œillet et ma droite masturber mon sexe. Son miel odorant dégoulinait de ses chairs de braise, elle se donnait totalement, comme je ne l’avais encore jamais vue se donner, avec une liberté absolue !
    
    De temps en temps, elle se soulevait légèrement pour se positionner différemment sur ma bouche. Je profitais alors de ces instants pour reprendre mon souffle et l’encourager à se livrer sans tabous, à chercher le paroxysme du plaisir et à décupler son envie :
    
    — Oh ma chérie, mais je vois d’en bas qu’il te remplit bien la gorge avec son éclair au chocolat, tu as l’air d’en raffoler petite gourmande … et mince il te le met presque entièrement dedans, hum imagine qu’après il va sûrement te le mettre autre part.
    
    Je savais qu’une fois l’action largement engagée elle basculait dans un état second où elle oubliait toute inhibition et que ces paroles crues, loin de la choquer, l’excitaient davantage.
    
    — ...