1. Ma copine la prostituée


    Datte: 10/03/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... plus, j’avais joui en imaginant qu’elle me bouffait le cul. C’était un signe, non ?
    
    Quatre jours plus tard, en début de soirée, l’homme nous accueillit chez lui. Il était assez grand, la tête un peu dégarnie, grisonnant, des lunettes. Très poli et délicat. Il n’avait pas exigé qu’on mettre de vêtements particuliers, contrairement à beaucoup de clients de Léna. Nos tenues importaient peu, puisque le jeu consistait à se faire surprendre à poil sur un lit.
    
    Mais nous avons bu un peu de champagne auparavant. Et nous avons discuté, car l’homme, dans le trip qu’il projetait, était censé m’avoir déjà vue et savoir deux ou trois choses de moi.
    
    Son appartement respirait le fric, effectivement. Beaucoup de tableaux, de meubles et d’objets d’antiquité. Le champagne était délicieux et ma tête tournait un peu quand nous nous sommes dirigées vers la chambre, Léna et moi. Celle que son grand-père lui avait dédiée pour les vacances. L’homme ne nous a bien sûr pas suivies. Nous sommes entrées dans la pièce et avons refermé la porte. Nous disposions d’un quart d’heure pour nous mettre en place, avant de nous faire surprendre.
    
    On s’est regardées en souriant et Léna m’a dit :
    
    « Ça va ? »
    
    « Oui, ai-je répondu. »
    
    « Tu n’es pas trop tendue ? »
    
    « Non, ça va aller. »
    
    « On se déshabille alors ? »
    
    J’ai fait oui de la tête et Léna s’est assise au bord du lit pour défaire ses chaussures. Je l’ai imitée et elle m’a dit :
    
    « Comment tu le trouves ? »
    
    « Ben… Un peu vieux. ...
    ... »
    
    Elle a pouffé discrètement, puis éloigné ses chaussures. Ensuite, elle s’est levée et a déboutonné sa chemise, sans hâte. J’ai fait la même chose et je n’ai pas pu m’empêcher de lorgner vers elle lorsqu’elle a baissé dans un même geste son jean moulant et sa culotte. Sa chatte était poilue, mais coupée très court et épilée au maillot. La mienne était réduite à un petit trait de poils, très courts également. En me voyant à poil, Léna m’a dit :
    
    « Tu as un superbe corps. J’adore tes seins. »
    
    J’adorais les siens aussi. Ils étaient en forme de poire et tombaient un peu sur sa poitrine. Et on est restées là, debout l’une en face de l’autre, pendant un petit moment, en souriant bêtement.
    
    Puis elle a dit :
    
    « J’ai une idée. »
    
    Je lui ai retourné un regard d’étonnement et répondu :
    
    « Dis-moi… »
    
    Elle a souri et dit :
    
    « Ça te dirait qu’on se gouine ? »
    
    J’ai éclaté de rire, puis me suis jetée sur le lit où mon corps a rebondi. Puis Léna est venue se coucher sur moi et m’a dit à l’oreille :
    
    « Il doit nous rester cinq minutes. Et on est censées être en soixante-neuf quand le vieux va ouvrir la porte. Est-ce que ça t’ennuie si auparavant on s’embrasse avec la langue ? »
    
    Ce fut divin.
    
    Je n’en revenais pas.
    
    On s’est embrassées amoureusement, et on a même pris le temps de se toucher les seins et de se doigter un peu. Mais ce fut rapide, car le temps filait et la porte n’allait plus tarder à s’ouvrir. Alors on s’est mises en soixante-neuf et on s’est ...