Ma copine la prostituée
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Partouze / Groupe
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... genre de relation, toi et moi, je sais, dit Léna. Mais si ça te pose un souci, je peux demander à une autre fille. Je ne t’en voudrais pas, ne t’en fais pas pour ça. »
J’ai soupiré et baissé les yeux.
Léna a ajouté :
« Le mec est plein aux as. Il nous filera cinq-cents euros chacune pour la soirée, sans compter le champagne à volonté. »
« Cinq-cents pour une soirée ? Mais c’est ce que je gagne en un mois en faisant la plonge dans un resto de merde ! »
« Je sais. »
« Et quel âge il a, ce mec ? »
« Dans les soixante-dix ans. »
« C’est vieux… dis-je. »
« C’est toi qui vois. Je te laisse réfléchir, mais il me faut une réponse demain à midi. »
Je souriais nerveusement en regardant ailleurs.
Cinq-cents euros, ce n’était pas rien.
Cinq-cents euros pour me gouiner avec ma pote Léna devant un vieux…
J’ai relevé les yeux et dit :
« Mais lui, il nous pénètrera ensuite ? »
« Oui, bien sûr, dit Léna. Il nous surprend, il nous fâche et il menace de répéter à nos parents qu’on baise ensemble. Mais nous, on ne veut surtout pas que nos parents apprennent ce genre de chose, alors on le supplie de ne rien dire. Il pose ses conditions, tu vois le topo… »
Je fis oui de la tête et me mit à me ronger un ongle en réfléchissant.
Puis Léna me demanda :
« A quelle occasion tu t’es gouinée ? »
J’ai répondu sans la regarder :
« C’était pendant des vacances sur la côte atlantique. J’avais douze ans. C’était avec une fille qui en avait seize. ...
... Elle aimait les nanas, et moi j’étais jeune et naïve… »
« Tu as regretté de l’avoir fait ? »
« Non, c’était plutôt agréable. »
« Et tu ne l’as jamais refait depuis ? »
« Non. »
« Ça ne changerait rien à notre relation, précisa Léna. On le ferait une fois, pour le fric, c’est tout. »
J’ai remué la tête pour lui dire que je comprenais bien. Des images me revenaient en mémoire : la chatte de cette fille sur la côte atlantique, en pleine forêt. Je l’avais léchée et ce n’était pas désagréable du tout, d’autant que sa langue à elle, logée entre mes fesses, m’avait fait un bien fou. Puis les deux doigts qu’elle m’avait enfoncés dans la fente, ensuite.
« Je te laisse réfléchir ? dit Léna. »
A mon retour chez moi, je me suis mise à poil, puis à quatre pattes au milieu de ma chambre d’étudiante. Je me suis mouillée un doigt avec ma salive, abondamment, et j’ai fait comme si c’était une langue qui me suçait le clito, les lèvres, puis l’anus.
D’abord la langue de cette fille quand j’avais douze ans, puis celle de Léna. J’ignorais comment elle était : lisse, épilée, très poilue.
J’ai opté pour lisse.
J’ai joui quatre fois de suite, très rapprochées.
Puis j’ai envoyé un SMS à Léna. Il était quatre heures du matin. Elle m’a répondu presque aussitôt : « Cool ma belle. »
Le lendemain, à mon réveil, j’ai cru que j’avais rêvé. Avant de me lever, je me suis masturbée, puis j’ai douté. Mais je m’étais engagée auprès de Léna et je ne voulais pas la décevoir. De ...